Vaccination SARS-CoV-2 : le Dr Wodarg et le Dr Yeadon alertent sur les risques d’infertilité chez les femmes

source : francesoir.fr – 3 / 12 / 2020

La vaccination ne serait-elle pas le long fleuve tranquille escompté par les grands laboratoires et les gouvernements ?

Deux médecins de premier plan, le Britannique Mike Yeadon et l’Allemand Wolfgang Wodarg, ont lancé un appel à la suspension des études sur les vaccins SARS-CoV2. Ils l’ont adressé à l’Agence européenne du médicament et joignent à leur demande une pétition qu’ils appellent les Européens à signer. 

Ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le docteur Michael Yeadon s’était distingué par des propos très critiques à l’égard des tests PCR.

Le Dr Wodarg, ancien parlementaire (social-démocrate), propose sur son site les explications sur sa démarche, ainsi que le texte complet (PDF, en anglais) et un modèle de courriel à envoyer aux autorités pour ceux qui soutiendraient cette requête (lien à la fin de l’encart).

Nous reproduisons ci-après son communiqué.
 


1er décembre 2020

En collaboration avec l’ancien directeur de recherche de Pfizer Dr. Michael Yeadon, j’ai soumis une demande à l’ EMA, l’Agence européenne du médicament, qui est responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’UE, le 1er décembre 2020 pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin SARS-CoV-2, en particulier l’étude de BioNtech / Pfizer à BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Nous exigeons que les études – pour protéger la vie et la santé des personnes testées – ne se poursuivent que lorsqu’un concept d’étude est disponible, adapté pour répondre aux préoccupations de sécurité considérables exprimées par de plus en plus de scientifiques bien connus contre le vaccin et la conception de l’étude, Prendre en compte.

En tant que pétitionnaires, nous exigeons, d’une part, qu’en raison du manque de précision connu du test PCR dans une étude sérieuse, le séquençage dit de Sanger soit utilisé. C’est le seul moyen de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin contre Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR différents de qualité très différente, ni le risque de la maladie ni un éventuel bénéfice vaccinal ne peuvent être déterminés avec la certitude nécessaire. Pour cette seule raison, de tels tests de vaccins sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.

De plus, nous exigeons qu’il soit préalablement exclu que les risques connus des études précédentes, dont certains proviennent de la nature des virus corona, puissent avoir des effets dangereux. Nos préoccupations portent notamment sur les points suivants:

La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut conduire à une réaction immunitaire excessive, en particulier lorsque les sujets testés sont confrontés au vrai virus « sauvage » après la vaccination. Cette soi-disant amélioration dépendante des anticorps, ADE, est connue depuis longtemps par des expériences avec des vaccins corona chez le chat. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir été infectés par de vrais coronavirus. Cette réaction excessive est encore favorisée par les boosters actifs.

Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SARS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que les humains. Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une infertilité de durée indéfinie chez les femmes vaccinées.

Les vaccins à ARNm BioNTech / Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques, voire mortelles, à la vaccination.

La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une évaluation réaliste des effets à long terme. Comme pour les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des effets à long terme ne seraient observés qu’en cas d’approbation d’urgence planifiée alors qu’il est déjà trop tard pour des millions de personnes vaccinées. Les gouvernements prévoient d’exposer des millions de personnes en bonne santé à des risques inacceptables et de les forcer à vacciner en appliquant des restrictions discriminatoires à ceux qui ne sont pas vaccinés.

Néanmoins, BioNTech / Pfizer a apparemment déposé une demande d’approbation d’urgence le 1er décembre 2020. La responsabilité scientifique nous oblige à prendre cette mesure.

APPEL À L’AIDE : Le Dr Wodarg et le Dr Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens européens de signer leur pétition en envoyant le courrier électronique préparé ici à l’EMA .

2 pensées sur “Vaccination SARS-CoV-2 : le Dr Wodarg et le Dr Yeadon alertent sur les risques d’infertilité chez les femmes

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