Kinsey, Rockefeller et la CIA : philanthropie et révolution sexuelle au service du Nouvel ordre mondial.

Par Judith Reisman et Marion Sigaut

Dévouée depuis quarante ans à la défense des enfants contre la pieuvre pédosadique, Judith Reisman nous livre sa dernière analyse des liens entre la révolution sexuelle, la philanthropie des Rockefeller et les manipulations de la CIA. Ou la collusion entre la dépravation sexuelle, la science sans conscience et les services secrets.

Marion Sigaut 

Cette traduction et présentation du dernier livre de Judith Reisman est le fruit d’un travail collaboratif. Aussi elle peut comporter des coquilles. Ce dossier vous est offert gratuitement, n’hésitez pas à nous soutenir.  La rédaction de Strategika

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RÉSUMÉ

En 1932, le communiste W.Z. Foster a prédit que la destruction de plusieurs facteurs – « enseignement, moralité, éthique, science, art, patriotisme, religion » – était nécessaire pour l’établissement d’un « Nouvel Ordre Mondial »[1]. La stabilité sociale, économique et sexuelle de l’Amérique reposait jusqu’alors sur les croyances et les lois judéo-chrétiennes : abstinence avant et fidélité pendant un mariage hétérosexuel consenti. La santé et la prospérité américaines attestaient du succès de ce modèle biopsychologique sexuel normal. À partir de 1941, quand l’Amérique s’engagea dans la Deuxième Guerre mondiale, la Rockefeller Foundation (Fondation Rockefeller) commença de financer les travaux du Dr Alfred Kinsey, qu’elle connaissait pour être un sadomasochiste bi- et homosexuel. Le soutien de la Fondation Rockefeller assura un succès immédiat au livre publié par Kinsey en 1948 sous le titre « Sexual Behavior in the Human Male » [Le comportement sexuel de l’homme] ; l’« échelle Kinsey » codifia la « fluidité sexuelle » pour la postérité, assurant à l’auteur une célébrité internationale durable. La Fondation Rockefeller mit Kinsey en relation avec un réseau plus vaste de scientifiques financés également par elle. À partir de 1946 environ, Kinsey travailla en partenariat avec le Columbia-Greystone Brain Project de la Fondation Rockefeller au « Snake Pit »[2] de New York, le Rockland Mental Hospital. Les résultats des études de Kinsey faisant état des réactions sexuelles de patients lobotomisés sont exposés de façon édulcorée dans le livre de l’intéressé paru en 1953 sous le titre « Sexual Behavior in the Human Female » [Le comportement sexuel de la femme].

Le présent document fournit de nouvelles preuves que les 2.034 enfants et bébés (nombre approximatif) violés sexuellement pour établir la « preuve scientifique » – affirmée par Kinsey et appelée à révolutionner le monde – d’un orgasme chez l’enfant et le bébé, ont été trouvés notamment dans ces institutions. 82% des expériences réalisées par Kinsey sur des enfants sont l’équivalent des « techniques d’interrogatoire renforcées » utilisées sur les détenus de Guantanamo Bay soupçonnés de terrorisme. Comme la définition de l’« orgasme » par Kinsey repose sur une symptomatologie qu’on ne peut distinguer d’une crise d’épilepsie, d’un accès de terreur ou de détresse et (ou) d’un traitement par électrochocs, les réactions physiologiques en lesquelles il prétend identifier  un « orgasme » enfantin étaient en réalité d’authentiques réactions traumatiques. Il s’agit donc là d’une fraude kinseyienne découverte récemment, alors qu’elle était présentée comme relevant de la « science » par ceux qui finançaient l’intéressé à la Fondation Rockefeller. Bien loin de confirmer l’authenticité du « choc » organique dans lequel on a voulu voir une spectaculaire découverte scientifique, le présent ouvrage soutient que les travaux sexuels de Kinsey ont servi en partie à des opérations psychologiques (ou OPSPSY)[3] plus poussées servant à justifier un changement social complet.

Dernièrement encore, en 2020, la Fondation Rockefeller s’est vantée d’avoir « financé une révolution sexuelle » par le biais des « rapports Kinsey ». Depuis 1954, on assiste à un blocage efficace des efforts déployés au Congrès pour enquêter sur les travaux sexuels de Kinsey et sur le lien de cause à effet entre la pornographie et l’augmentation incessante des abus sexuels commis sur des enfants. Ceux qui agissent pour les intérêts des Rockefeller ont empêché toute dénonciation publique de Kinsey, non sans promouvoir encore ses conclusions. C’est par l’intermédiaire de Playboy que Hefner, le « héraut de Kinsey », a vendu les mensonges de la Fondation Rockefeller et du protégé de celle-ci.

La retenue sexuelle des générations antérieures – celles qui ont construit l’Amérique – a été travestie en un monceau de fabulations hypocrites ; les relations sexuelles préconjugales, extraconjugales, insignifiantes et sans amour ont été présentées sous un jour séduisant ; et une génération entière ayant Hefner pour gourou a adhéré au cynisme vis-à-vis des relations humaines, au nihilisme et au rejet de toute sagesse reçue. Le Code pénal modèle (MPC) – financé par la Fondation Rockefeller en 1955, élaboré par une équipe ayant l’approbation de celle-ci et citant Kinsey – prétendait inverser les lois relatives au comportement sexuel, y compris celles de 1957 réprimant l’obscénité, et il banalisait les abus sexuels. En 1964, le Conseil d’information et d’éducation sur la sexualité des États-Unis (SIECUS), créé par Playboy et ayant son siège à l’Institut Kinsey (KI), enseignait aux écoles à dénigrer la chasteté, l’hétérosexualité et la monogamie. Bientôt, les dérogations à la législation contre l’obscénité autorisées dans le domaine de l’« enseignement » permirent au projet d’éducation sexuelle K-12 (du jardin d’enfants à la Terminale) d’enseigner aux enfants des comportements sexuels érotiques. Il en a inévitablement découlé une progression constante des viols d’enfants, de la pornographie et des maladies sexuellement transmissibles (MST). En 2014, l’Institut Kinsey a obtenu un statut consultatif auprès des Nations Unies s’agissant des matériels « éducatifs » qui ont pour but de surmonter les instincts d’autoprotection les plus fondamentaux des enfants de tous âges, préparant efficacement ceux-ci à coopérer avec le programme de changement social de la Fondation Rockefeller. Depuis 2019, l’application du KI intitulée « Kinsey Reporter » incite les « scientifiques citoyens » (de tous âges) à enregistrer et signaler anonymement tous les actes ou crimes sexuels. Une enquête congressionnelle sur le réseau criminel constitué par la Fondation Rockefeller, KI, Big Pharma, Big Porn, Big Abort[4], ainsi que les pourvoyeurs et éducateurs en « santé sexuelle », passés et actuels, s’impose d’urgence afin de mettre un terme aux dommages que ces entités ont infligés à trois générations successives dans leur volonté obsessionnelle de mettre en place un Nouvel Ordre Mondial.


[1] William Z. Foster (1932-2016). Toward Soviet America, Hauraki Publishing, Kindle Edition, p. 313.

[2] NdT (Wikipedia) : Mary Jane Ward (ou M. J. Ward), née en 1905 dans l’Indiana et décédée en 1981, était une musicienne et romancière américaine connue pour son roman « La Fosse aux serpents » (The Snake Pit) publié en 1946, puis devenu un film sous le même titre en 1948. Elle s’est mariée à vingt-huit ans à un statisticien. Elle souffrait de troubles psychotiques lorsqu’elle a été hospitalisée au Rockland State Hospital de New York en 1941.

[3] Opérations psychologiques…destinées à faire passer des informations et des indicateurs choisis à des publics dans le but d’influencer leurs émotions, leurs motifs, leur raisonnement objectif, de même que le comportement des gouvernements, organisations, groupes et individus.

[4] NdT : c’est-à-dire – outre la Fondation Rockefeller et l’Institut Kinsey – les grands laboratoires, les éditeurs de pornographie et les partisans de l’avortement.

Présentation vidéo du dossier de Judith Reisman par Marion Sigaut :

7 pensées sur “Kinsey, Rockefeller et la CIA : philanthropie et révolution sexuelle au service du Nouvel ordre mondial.

  • 26 décembre 2020 à 12 h 59 min
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    Les révolutions du XVIIIème siècles et leurs conséquences aujourd’hui.
    D’abord, quelques mots au sujet de la FM et le siècle des « lumières ».
    Rappelons que la Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël. Cependant, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), précise ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable. ». « C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, confirme René Guénon : on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne, sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation. Les premiers responsables de cette déviation, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu. » Et Robert Ambelain d’ajouter : « Ce nouveau rite allait lancer la FM sur une nouvelle voie… qui tendrait à saper certaines valeurs qui font la dignité de l’homme, par l’athéisme, le matérialisme, le laxisme menant à l’amoralisme désagrégateur. »
    Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
    Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
    Rappelons qu’après la Révolution de 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
    Aussi, les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle, au minimum, gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale, la « FED », est née, en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; précisons encore que trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette banque centrale américaine : Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor. Ils périront dans le naufrage du Titanic… en 1912 !
    En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
    L’une des méthodes employées depuis plus d’un siècle par ces escrocs économiques pour faire de la guerre un « business », et accroitre leur mainmise sur la planète est le « casus belli » : 1898 avec le Maine, 1915 avec le Lusitania, 1941 avec Pearl Harbor, 1964 avec les incidents du golfe du Tonkin, 2001 avec le « 9/11 ».
    Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers.
    Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ».
    Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
    Encore et toujours « Panem et circenses » : aujourd’hui malbouffe et civilisation ludique, où la prolifération des jeux dans tous les secteurs de la vie sociale transforme progressivement notre univers en une immense cours de récréation… infernale, et où tout semble désormais programmé pour faire de tous des adolescents éternels, c’est-à-dire une société d’adultes infantiles… À l’instar de l’Île enchantée de Pinocchio, Île des plaisirs, en réalité un piège dans lequel les « enfants » finissent par devenir esclaves, après s’être fait « abêtir ».
    C’est ainsi qu’un des vices majeurs de notre époque est ce que Montherlant appelait « le jeunisme ». Dans notre société moderne, tout est fait pour prolonger indifiniment la jeunesse, alors que la jeunesse est un âge transitoire, qui doit être dépassé. C’est une complète inversion des valeurs… La Révolution française est exemplaire à cet égard. Parmi les principaux acteurs, la moyenne d’âge était de 27-28 ans ; Robespierre et Danton avaient à peine dépassé la trentaine. Quelle succession explosive d’excès et d’incohérences… que de fureur criminelle, d’hystérie incendiaire, de convulsions pathologiques ! La jeunesse est l’âge de toutes les sottises et de toutes les exactions. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse, alors qu’elle est avant tout grégaire.
    C’est pour quoi les tyrans on tant besoin d’elle.
    BLOG : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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  • 26 décembre 2020 à 15 h 52 min
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    mon Dieu mais gens sus-nommés sont des monstres , de cruauté et des êtres pervers et criminels quelle horreur , avoir tant d argent et se faire passer pour des bienfaiteurs de l humanité!!!!!!!!! PEINE DE MORT

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  • Ping :L’horreur des études Kinsey, fondement de l’éducation sexuel dans nos sociétés occidentales – CATHOLIQUES DE FRANCE

  • 11 janvier 2021 à 9 h 48 min
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    Ce n’est pas un vaccin.

    Ceci est un ARNm emballé dans une enveloppe de graisse qui est livré à une cellule. C’est un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine à devenir un créateur de pathogène. Ce n’est pas un vaccin. Les vaccins sont en fait un terme juridiquement défini en vertu du droit de la santé publique ; ils sont un terme juridiquement défini selon les normes CDC et FDA

    [1] Et le vaccin doit spécifiquement stimuler à la fois l’immunité de la personne qui le reçoit et il doit aussi le faire transmission perturbée. Et ce n’est pas ce que c’est. Ils (Moderna et Pfizer) ont été très clairs en disant que le brin d’ARN qui entre dans la cellule n’est pas d’arrêter la transmission, c’est un traitement. Mais s’il était discuté comme un traitement, il n’obtiendrait pas l’oreille sympathique des autorités de santé publique parce qu’alors les gens diraient : « Quels autres traitements sont là ? »

    L’utilisation du terme vaccin est inconsciente tant pour la définition juridique que pour la définition légale, mais aussi pour le débat ouvert et gratuit… Moderna a été créée comme une entreprise de chimiothérapie pour le cancer, pas comme fabricant de vaccin pour SARSCOV2. Si nous disions que nous sommes va donner aux gens une chimiothérapie prophylactique pour le cancer qu’ils n’ont pas encore eu, on se moquerait de la salle parce que c’est une idée stupide.

    C’est exactement ce que c’est Il s’agit d’un dispositif mécanique sous forme d’un très petit paquet de technologie qui est inséré dans le système humain pour activer la cellule pour devenir un site de fabrication de pathogènes.Et je refuse de stipuler dans toute conversation que c’est en fait un problème de vaccin. La seule raison pour laquelle le terme est utilisé est d’abuser de l’affaire Jacobson 1905 qui a été mal représentée depuis qu’elle a été écrite.

    Et si nous étions honnêtes avec cela, nous l’appellerions comme ça :

    C’est un dispositif chimique pathogène qui est en fait destiné à déclencher une action de production de pathogènes chimiques dans une cellule. Il s’agit d’un dispositif médical, pas d’un médicament parce qu’il répond à la définition d’un dispositif du CDRH. Ce n’est pas un système vivant, ce n’est pas un système biologique, c’est une technologie physique il arrive qu’il arrive qu’il arrive de la taille d’un paquet moléculaire.

    Donc, nous devons être vraiment clairs pour nous assurer que nous ne tombons pas dans leur jeu. Parce que leur jeu est si on en parle comme vaccin alors on va entrer dans une conversation de vaccin mais ce n’est pas, de leur propre admission, un vaccin. En conséquence, il doit être clair pour tous ceux qui écoutent que nous ne tomberons pas dans cette définition ratée, tout comme nous ne tomberons pas dans leur définition chimique industrielle de la santé. Les deux sont fonctionnellement imparfaits et constituent une violation implicite de la construction juridique qui est exploitée.

    Je suis frustré quand j’entends des militants et des avocats dire ′′ nous allons combattre le vaccin « . Si vous stipuliez que c’est un vaccin, vous avez déjà perdu la bataille. Ce n’est pas un vaccin. C’est fait pour vous rendre malade.

    80 % des personnes exposées à SARSCOV2 sont des porteurs asymptomatiques.

    80 % des personnes qui se font injecter cette injection dans leur groupe présentent un événement indésirable clinique.

    Vous vous faites injecter une substance chimique pour induire une maladie, pas pour induire une réponse immuno-transmissive. En d’autres termes, rien à ce sujet ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit.

    Il s’agit de vous rendre malade et d’avoir vos propres cellules est la chose qui vous rend malade. Quand le maître de paie de la distribution d’informations se trouve être l’industrie qui fait la distribution, nous perdons. Parce que le seul récit est celui qui sera compensé par les personnes qui font le chèque. Cela vaut pour nos politiciens… et nos médias ils ont été payés si vous suivez l’argent, vous réalisez qu’il n’y a pas de voix sans conflit sur aucun réseau. »

    Dr. David Martin, le 5 janvier 2021,[1] Le mot « vaccin » provient du vaccin Latin Variolae (cowpox), dont Edward Jenner a démontré en 1798, pourrait prévenir la variole chez les humains.

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  • Ping :L'imposture des droits sexuels - Ame voyageuse Psychologie

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