Bruno Gollnish, Pierre Hillard, Pierre-Antoine Plaquevent : des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros

source : tvlibertes.com

Bruno Gollnisch reçoit Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, pour ses trois ouvrages sur le mondialisme, ainsi que Pierre-Antoine Plaquevent, dirigeant du think tank Strategika et auteur de « Soros et la société ouverte – Métapolitique du globalisme ». Un débat pour comprendre les origines de l’idéologie mondialiste et ses répercussions sur nos sociétés modernes.

Une pensée sur “Bruno Gollnish, Pierre Hillard, Pierre-Antoine Plaquevent : des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros

  • 9 mars 2021 à 3 h 49 min
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    Le « mondialisme » débute réellement au moment où commence l’histoire, c’est-à-dire le règne de l’homme.
    Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Il est curieux d’étudier comment cet ordre de choses a commencé, quels ont été les mobiles des premières erreurs voulues, et quels hommes, les premiers, ont eu l’audace de les écrire.
    A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants de la splendeur du régime précédent qu’on venait renverser : la destruction et l’altération des textes.
    L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.
    Rappelons, à propos des grandes religions modernes, que l’Ancien Testament, sur lequel le Nouveau s’appuie, est un livre altéré, un livre destiné à cacher quelque chose. Si on ne sait pas qu’il y a déjà dans les anciennes Écritures quelque chose que l’on cache, on ne peut pas comprendre les nouveaux Évangiles, puisque c’est le même mensonge qui continue.
    Précisons que derrière toutes ces fables, ce sont toujours les mêmes « habiles », qu’ils soient religieux ou laïques, la fin justifiant tous les moyens, qui exploitent ces mensonges pour la satisfaction de leurs instincts de violence et de cupidité.
    NB : La Tour de Babel et son origine : la « Chute »
    Quand la vie sexuelle commence à se manifester chez l’enfant, elle le fait entrer dans une phase nouvelle qui est l’adolescence.
    Les conditions physiologiques des deux sexes vont se modifier ; chacun d’eux étant régi par une polarité inverse, ils vont commencer à suivre des voies divergentes, et leur donner des caractères psychiques qu’ils n’avaient pas eu jusque-là.
    Les suites fatales de la sexualité masculine font apparaître en lui les germes des 7 faiblesses humaines dont la Théogonie fit les 7 péchés capitaux :
    – L’orgueil qui va lui insinuer des idées de supériorité vaine.
    – L’égoïsme qui lui conseillera de prendre aux autres ce qu’ils ont, leur avoir, leurs places dans la vie, leurs privilèges et les honneurs qui leur sont dus.
    – L’envie qui va lui souffler ses premières haines.
    – La colère qui le jettera dans des disputes, des violences et des crimes.
    – La luxure qui fera apparaître en lui la bête humaine.
    – L’intempérance qui altérera sa santé et troublera sa raison.
    – La paresse qui l’amollira et fera de lui un être inutile, à charge aux autres.
    Ajoutons à cela l’invasion du doute, père du mensonge, du mensonge, père de l’hypocrisie génératrice de la ruse.
    Son esprit a des éclipses, des moments de torpeur. Chacune de ses « œuvres basses » lui fait perdre une parcelle de l’étincelle de vie ; c’est une brèche par laquelle entre peu à peu la déraison, si vite envahissante.
    C’est alors qu’il commence à renverser l’ordre des idées, que son jugement perd sa droiture, qu’il se fausse. Des intérêts personnels, des entraînements sexuels commencent à le guider. C’est l’âge de la perversion qui apparaît.
    Puis sa force musculaire qui augmente lui donne de l’audace et sa sensibilité qui s’atténue le rend dur et méchant, il ne sent plus autant la souffrance des autres.
    Une évolution contraire s’accomplit chez la femme. Elle a grandi dans l’amour qui lui a fait acquérir les 7 vertus que les Écritures sacrées, notamment l’Avesta, opposaient aux 7 péchés. Mais sa force musculaire qui diminue va la rendre impropre à l’action. Son esprit s’élargit et ouvre devant Elle un brillant horizon de pensées nouvelles ; la bonté, la douceur, la gaieté, la joie de vivre s’accentuent en Elle.
    Pendant que l’homme, poussé à l’action par sa force qui grandit, veut des exercices musculaires, des luttes ou des travaux qui mettent en activité ses facultés motrices, chez Elle c’est l’Esprit qui travaille, c’est la pensée qui s’impose et la domine.
    De cette divergence devait naître un commencement de discorde.
    Jusque-là il y avait eu accord entre ces deux êtres, harmonie parfaite et tendresse. La fille marchait plus vite que le garçon, elle était initiatrice en tout, mais il la suivait, adoptait ses idées, les faisait siennes, puisqu’elles répondaient encore à sa mentalité droite. Et c’est cet accord qui engendra « l’âge d’or ». Il dura tant que l’homme garda sa chasteté d’enfant.
    Mais les nouveaux caractères qui surgirent vinrent altérer cette harmonie. Ces deux adolescents commencent à ne plus se comprendre quand ils commencent à avoir chacun une objectivité différente dans la vie.
    Aussi, bientôt les mots n’eurent plus pour eux la même signification parce que les idées de l’homme changeaient de direction ; il allait mettre sur le plan sexuel ce qu’elle continuait à mettre sur le plan spirituel. Et c’est cette confusion que l’histoire va nous montrer dans un monument symbolique, la Tour de Babel, représentant l’évolution ascendante commencée par le genre humain, mais interrompue et inachevée parce qu’au moment de la divergence sexuelle on ne s’entendit plus. C’est cela qui est « la confusion des langues », chaque sexe voyant le monde sous un jour différent, le résultat du désir étant pour l’homme une descente dans la matérialité et pour la femme une montée dans la spiritualité.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/psychologieetloidessexes.html

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