Pass sanitaire, vaccination Covid et apartheid social – Nicole et Gérard Delépine
par Nicole et Gérard Delépine – août 2021
Les expériences des lieux de records de couverture vaccinale tels que Gibraltar (115%), les Seychelles (80%), le porte avion Queen Elizabeth (100%), la Grande-Bretagne (66%), les Emirats Arabes Unis (80%) et d’Israël (67%) montrent bien qu’un fort taux de vaccinés est incapable de stopper la maladie
Strategika – Le professeur Neil Ferguson a récemment expliqué que l’épidémie de Coronavirus pourrait être jugulée d’ici octobre. D’autres sources semblent indiquer la possible arrivée de nouveaux protocoles de traitements anti-covid en octobre. Rappelons que Neil Ferguson – que les anglais appelle « Professor Lockdown » – est à l’origine du célèbre modèle de l’Imperial College de Londres. C’est lui qui avait averti Boris Johnson que, sans un confinement immédiat, le coronavirus causerait 500 000 décès et submergerait le National Health Service. Ses projections amèneront la plupart des gouvernements occidentaux à suivre la même politique. Il préconisait aussi dès le départ un confinement de 18 mois en six étapes. Confinement qu’il avait d’ailleurs lui-même enfreint dès mars 2020. Les récentes déclarations de Neil Ferguson ont amené Boris Johnson à mettre en garde la population contre des conclusions « prématurées ».
Dans la foulée de ces déclarations en Grande-Bretagne, on commence aussi à parler de la chute des contaminations pour d’autres pays comme les Pays-Bas ou la Tunisie, deux pays qui ont connu de grands soulèvements populaires.
Selon vous, pourquoi Ferguson fait-il ces déclarations en ce moment ? Est-ce pour tenter de juguler la colère populaire qui monte dans le monde entier ? Allons-nous vers un changement dans la narration covidienne ?
Nicole et Gerard Delépine – Neil Ferguson est le premier des covido-terroristes. Ce mathématicien très lié à l’OMS et à Bill Gates utilise un modèle conçu pour la grippe et le fait tourner avec des hypothèses fausses pour publier des prophéties apocalyptiques destinées à susciter la panique, probablement sur ordres des politiques, comme la presse anglaise l’a révélé et comme cela s’est également passé en Allemagne avec le conseiller Drosten.
Et Ferguson n’essaie jamais d’évaluer les conséquences nocives de ses préconisations. Non médecin, il paraît ignorer la nécessité de la balance avantages/risques et plus probablement ce n’est pas son job.
Toutes ses prédictions des 20 dernières années ont considérablement surestimé les risques des maladies et souvent entraîné des décisions politiques inappropriées causant parfois des dommages considérables (abattage massif d’animaux en G-B). Mais jusqu’à cette crise, il n’avait été responsable essentiellement que de morts d’animaux.
L’inflexion de son discours vise peut-être à faire oublier qu’il est un des coupables de la plus grande catastrophe sociale depuis 1945, car la crise qui nous a frappée n’est pas due au virus, mais uniquement aux mesures que ses prophéties ont justifiées.
Nous ne faisons pas de prédiction à la Ferguson ou autre prophète du covid, pour une situation particulière, mais l’histoire des épidémies montre qu’au bout d’un certain temps, les mutations virales qui s’imposent dans les populations sont de plus en plus contagieuses et de moins en moins mortelles.
Un exemple est celui de la grippe et des Amérindiens des plaines qui n’avaient jamais été en contact avec ce virus à ARN qu’ont importé les Espagnols et leurs porcs. En moins d’un siècle la population d’Amérindiens a été réduite de plus des deux tiers. Mais depuis lors, la grippe ne se comporte pas plus méchamment avec eux qu’avec nous.
C’est peut-être déjà le cas avec le Covid variant delta qui remplace rapidement les souches précédentes, car il est plus contagieux mais ne cause presque pas d’hospitalisations, ni de décès. Même lorsqu’on supprime toutes les mesures prétendument sanitaires comme en Grande-Bretagne depuis le 19/7 (Freedom day).
Les peuples ressentent confusément que la situation s’améliore naturellement et que cela n’a rien à voir avec la « vaccination », car le taux de couverture vaccinale reste très éloigné de celui que les marchands de vaccin affirment indispensable à leur efficacité.
De fait, les contaminations chutent quand les mesures liberticides sautent.
Pour ne pas être totalement discrédité, le récit covidien devrait s’adapter à cette prise de conscience progressive.
Strategika – Pourquoi le gouvernement accélère-t-il la marche en France et tente-t-il de faire passer en force le pass-sanitaire au risque de déclencher un soulèvement populaire plus massif encore que celui des gilets jaunes ? Est-ce justement parce qu’il sait que la fenêtre de tir covidienne va bientôt se refermer ?
NGD – C’est aux gouvernants qu’il faudrait poser la question. Mais votre hypothèse est très vraisemblable, d’autant que l’UE parle de traitements précoces innovants pour octobre 2021 et le temps est compté pour faire croire à l’efficacité des pseudovaccins et les vendre (des milliards achetés d’avance).
Les très mauvais résultats des injections anticovid maintenant avérés d’Israël, de la Grande-Bretagne, de Gibraltar, des Seychelles et leur inefficacité à protéger les vaccinés des formes graves et de la mort, réveillent progressivement les populations. Ces injections géniques ne peuvent ni empêcher les transmissions, ni prévenir la diffusion du variant delta, ni des suivants semble-t-il, et cela commence à être connu malgré la censure des réseaux sociaux et la manipulation médiatique. Cette prise de conscience réduit effectivement la fenêtre de tir des pseudovaccins, injections géniques.
Strategika – Sur quoi la colère populaire et les manifestations peuvent-elles déboucher selon vous ?
NGD – Nous ne sommes pas prophètes, ni devins contrairement à tant d’éditorialistes, médecins et autres qui expliquent ce qui va se passer dans les prochains mois et même le 20 aout ou autre ! tout dépendra du peuple et de sa détermination.
Mais retenons ce que l’histoire du monde enseigne : lorsqu’on refuse d’écouter le peuple, se crée une situation favorable à une révolte et si la répression des révoltés est trop violente, elle peut aboutir à une révolution qui peut se terminer très mal pour les tyrans, mais aussi pour les peuples.
Malheureusement nos gouvernants actuels ne paraissent pas sensibles à l’évaluation objective de la situation (pour ce que l’on peut en savoir). L’entêtement de E. Macron et de son gouvernement est très inquiétant, en particulier devant le refus de la population de l’obligation vaccinale et singulièrement les soignants bien au courant des drames de l’injection génique, devant le refus général du pass sanitaire, vaccinés ou non vaccinés ensemble dans les énormes manifestations répétitives. La servilité de trop de députés, sénateurs et de nombreux élus, et des organismes de contrôle de l’état peut faire craindre le pire.
Strategika – Est-il imaginable qu’on en finisse réellement avec le Covid ? Si oui le scénario covidien va-t-il être remplacé par autre chose ?
NGD – En tant qu’épidémie, le Covid 19 est déjà fini depuis plusieurs mois ; la quatrième vague avec laquelle les covid-terroristes veulent entretenir la panique n’est actuellement qu’une vague de tests positifs au variant delta, (puis probablement à un autre, l’alphabet grec n’étant pas terminé). Mais ce n’est en aucun cas une épidémie selon la définition médicale, puisqu’il n’y a peu de malades, d’hospitalisés, ni de décès liés au coronavirus. Les soignants précisent que les patients qui occupent les lits hospitaliers sont plus atteints de complications de l’injection génique (infarctus, AVC, lymphomes, rechute de cancers etc. que de covid proprement dit).
Quant à la saga Covid, elle s’éclaircit et s’enrichit de plus en plus avec un recul de deux décennies. Le Dr Martin préside la société MCA International Risk Management, de notoriété internationale pour avoir réalisé les enquêtes autour des attaques par l’anthrax. La société assure depuis 1998 la plus grande veille en matière de propriété intellectuelle (brevets déposés dans 168 pays), mais également de subventions fédérales et de nombreux dossiers administratifs dont ceux du CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux USA). Il faut écouter l’interview du DR Martin par l’avocat international R Fuellmich.
[1]« COVID-19 – LA PREUVE PAR LES BREVETS – UNE HISTOIRE QUI A DÉBUTÉ IL Y A BIEN LONGTEMPS ! »
Le Dr David Martin et son équipe ont analysé plus de 4 000 brevets déposés avant 2019 sur le SARS-CoV-2, tests et traitements du Covid-19.
Chaque étape de la vidéo permet de comprendre l’origine du virus, l’organisation d’un business très lucratif mondial et les conflits d’intérêt majeurs d’un grand nombre de laboratoires pharmaceutiques dont les noms sont clairement cités.
On peut également supposer que la saga Covid va être remplacée ou complétée par le serpent de mer du changement climatique dont on peut noter dès maintenant que les protagonistes sont les mêmes, la bande à Bill Gates entre autres.
Strategika – Tout comme Bill Gates, l’épidémiologiste Bruce Aylward, conseiller du directeur de l’OMS et responsable du programme international Covax expliquait « qu’il faut vacciner autour de 60 % de la population mondiale pour stopper l’épidémie de Covid-19 ». Peut-on penser qu’une fois atteint ce taux de vaccinations dans la plupart des pays, les autorités lâcheront prise ? Que feront-elles alors des non-vaccinés ? Vont-elles tenter de réduire ce bloc d’irréductibles sur le temps long afin d’atteindre une couverture vaccinale totale ou accepteront-elles qu’une partie de la population (30, 20 % ?) continue de vivre normalement sans être vaccinée ?
NGD – Ce taux de 60% ne repose sur aucune expérience médicale du monde réel mais uniquement, une fois de plus, sur des modélisations de scientifiques trop proches des firmes de vaccin et non sur l’analyse des faits avérés.
Les expériences des lieux de records de couverture vaccinale tels que Gibraltar (115%), les Seychelles (80%), le porte avion Queen Elizabeth (100%), la Grande-Bretagne (66%), les Emirats Arabes Unis (80%) et d’Israël (67%) montrent bien qu’un fort taux de vaccinés est incapable de stopper la maladie.
De même l’Islande dont la couverture vaccinale est très élevée constate l’échec actuel des pseudo-vaccins et son agence sanitaire s’interroge sur une stratégie alternative.
De plus des études scientifiques sérieuses montrent que le concept d’immunité collective acquise par les injections géniques est un leurre et que seule la maladie naturelle permet d’atteindre cette immunité tant souhaitée (au moins par les patients).
Les autorités qui sont dirigées par les marchands de vaccins et la volonté de nous contrôler en nous traçant tous (c’est le seul but réel du passe) ne lâcheront prise que devant une colère croissante et résolue du peuple, associée à la multiplication des recours juridiques devant toutes les juridictions nationales et internationales, capables de saturer le système comme en Russie où deux millions de plaintes en trois semaines ont fait plier le pouvoir moscovite.
Toutes les tyrannies finissent par disparaître ; celle-ci n’échappera pas à la règle, d’autant qu’elle ne dispose peut-être pas des mêmes atouts que les précédentes. La seule incertitude est dans quels délais et après quels dégâts.
Il faut informer le plus possible pour sortir de l’hypnose la population encore sous le matraquage des médias officiels, et rappeler toujours les faits avérés pour que la population paniquée par la propagande totalitaire des médias retrouve ses esprits, analyse les faits et se rende compte qu’on l’a odieusement arnaquée et qu’il est grand temps de reprendre une vie tout à fait normale.
Dans les pays qui vivent normalement depuis le début de la crise, tout va bien comme en Suède, avec une perte très modérée de PIB (-2,8%) contrairement aux pays comme la France (-8,3%), embourbés dans les mesures liberticides injustifiées. En Floride qui a libéré sa population de toute contrainte il y a déjà de nombreux mois, tout se passe bien pendant qu’à New York le maire tente à nouveau de brimer sa population.
Strategika – Comment devront alors vivre les humains non-vaccinés les autorités lâcheront prise ? Seront-ils réellement des citoyens de seconde zone voire pire ? Un contrôle biopolitique global de type chinois est-il envisageable pour l’ensemble de l’humanité ou le réel est-il encore trop conservateur ?
NGD – La démocratie vaincra, mais le plus vite sera le mieux. Il est clair que ces injections géniques sont extrêmement toxiques et que les accidents se multiplient dans le monde poussant bientôt les laboratoires à les retirer du marché quand le scandale sera trop explosif[2] et les médicaments nouveaux aux bénéfices majeurs seront sur le marché (octobre 2021 annoncé par l’UE).
Il faut bien comprendre que cette crise n’a plus rien d’une crise sanitaire -si elle ne l’a jamais été-, mais constitue une attaque directe des droits fondamentaux de l’homme pour tenter de nous imposer un modèle de gouvernance à la chinoise avec un passe qui serait progressivement enrichi du maximum d’informations personnelles pour nous noter socialement.
Le berceau des droits de l’homme se laissera-t-il transformer en une tyrannie pareille ? Le conditionnement chinois depuis Mao ne peut se comparer à la France libertaire et les forces de l’ordre ne sont probablement pas prêtes à soumettre le peuple dans le sang comme l’armée chinoise. Nos gouvernants trop proches du PCC se font probablement beaucoup d’illusions sur leur capacité à imposer la copie conforme au gouvernement chinois. Gageons et espérons que l’avenir démontre au contraire la libération progressive du continent rouge.
[1] https://vimeo.com/579883196 ou sur rumble.com Dr. Fuellmich/Dr. Martin – Les brevets autour du covid (rumble.com)
[2] Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)