Australie prison modèle et cinglée (suivi de: Sigmund Freud politiquement incorrect)
Source : nicolasbonnal.wordpress.com – 29 octobre 2021 – Nicolas Bonnal
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Né en 1961 à Tunis, Nicolas Bonnal étudie beaucoup, voyage plus encore et commence à publier en 1995 : Mitterrand le grand initié. Il publie ensuite aux belles lettres le Coq hérétique sur l’exception française, la première étude en français sur Tolkien et Internet novelle voie initiatique. Il publie aussi des romans (les territoires protocolaires) et un recueil de contes (les mirages de Huaraz) après une vacance de cinq ans en Amérique du sud. Il revient vivre en Andalousie, puis publie des livres sur le cinéma (le paganisme, Kubrick, Ridley Scott, sans oublier les westerns). Anarchiste réactionnaire, proche des libertariens américains et des traditionalistes européens, Nicolas Bonnal se réclame aussi du genre pamphlétaire (un livre sur Céline) et décidément antimoderne. Il a publié des textes sur une dizaine de sites dont France-courtoise.info, bvoltaire.fr, dedefensa.org, fr.sputniknews.com et pravdareport.com. Plusieurs de ses livres ont été traduits (russe, brésilien, ukrainien, espagnol). Son blog : nicolasbonnal.worpress.com
2 ans de prison et 90 000 dollars d’amende pour non-port de masque. Dans le métro parisien, la police tabasse un réfractaire et les témoins filment. Résumons-nous : il y a les fous (sélectionnés par le pouvoir mondialiste depuis trois générations) et les dressés. Les Anglo-saxons ont toujours été des dressés. Le politiquement correct a fait le reste – et le LGBTQ, la désexualisation engendrant un instinct de mort (voyez mes textes sur Freud qui l’avait brillamment décrit). La vie devant l’écran, le smartphone ou la télé ont créé une humanité irréaliste, qui a du mal à réaliser ce qui lui arrive aujourd’hui. Pour elle tout est show, mais son cœur est froid. Freud : « Les transformations psychiques qui accompagnent le phénomène de la culture consistent en une éviction progressive des fins instinctives, jointe à une limitation des réactions impulsives. Cela conduira à l’extinction du genre humain. »
Sigmund Freud politiquement incorrect
Sigmund Freud incorrect ? Dans son petit texte sur la guerre, voici ce que le vieux sage viennois écrit sur la culture :
« Et voici ce que j’ajoute : depuis des temps immémoriaux, l’humanité subit le phénomène du développement de la culture (d’aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de civilisation.) C’est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns de ses caractères sont aisément discernables. »
Voici les conséquences de ce développement culturel si nocif à certains égards, et auxquelles nos élites actuelles se consacrent grandement :
« Peut-être conduit-il à l’extinction du genre humain, car il nuit par plus d’un côté à la fonction sexuelle, et actuellement déjà les races incultes et les couches arriérées de la population s’accroissent dans de plus fortes proportions que les catégories raffinées. »
Vous avez bien lu : les races incultes et les couches arriérées de la population qui s’accroissent plus que les autres. Dans son essai décalé sur Freud, le penseur amateur Michel Onfray avait indiqué que Freud aimait le césarisme autoritaire au point d’envoyer un exemplaire dédicacé d’un sien bouquin à Mussolini ! https://lire.amazon.fr/kp/card?preview=inline&linkCode=kpd&ref_=k4w_oembed_SIdZhP68PikQCW&asin=152123132X&tag=kpembed-20
Ping :Macron torché par Biden et humilié par la terre entière : ce n’est pas grave, ils le rééliront triomphalement (58% face à tout le monde – et on ne nous trompe pas). Nos cathos et nos socialos et nos bobos de souche le rééliront pour se
Certes, mais Freud avait des griefs tout judaïques contre la civilisation chrétienne. Non qu’il fût facile à classer, tant son « Moïse et le monothéisme », par exemple, contient d’antijudaïsme. Mais au fond, il témoignait d’une rancune bien pharisienne contre le Messie et la civilisation qui s’est bâtie, humainement et imparfaitement, mais sous Son influence.
Ne pas oublier quand même que le freudisme est le réductionnisme par excellence, l’art, la morale et la religion étant réduits à l’expressions d’instincts et de « pulsions ».
Le freudisme est le rempart ultime du darwinisme contre le fait troublant que tout ce qui compte, tout ce qui donne un sens à la vie, n’a aucun rapport avec la survie et la propagation des gènes. Avec la « sublimation », Freud nous dit, sans le prouver, bien sûr, qu’au fond, tout n’est que mécanisme darwinien. Comment donc s’étonner qu’il classe les races en aptes et ineptes?