Vaccinés et puce Bluetooth
Source : echelledejacob.blogspot.com – 22 novembre 2021
http://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccines-et-puce-bluetooth-mise-jour.html
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Vaccinés et puce Bluetooth (mise à jour)
«A chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez…» Marc Twain
Voici une capture d’écrande smartphone, prise devant un supermarché. Il semble que beaucoup de vaccinés aient un code alphanumérique spécifique, une adresse MAC Bluetooth unique, qui apparaît à l’écran lorsque le Bluetooth est activé en mode recherche de périphériques. Ce type d’adresse physique, assigné à chaque puce Bluetooth injectée avec le vaccin, propose environ 281.000 milliards d’adresses MAC possibles et change tous les jours, en fonction d’un algorithme évitant la falsification de l’adresse !
Lorsque l’on marche dans la rue, les codes alphanumériques changent avec le flux continu de piétons et de véhicules. Les adresses ont toutes le même format alphanumérique normalisé (adresse MAC), douze chiffres et lettres, séparés par deux points.
Plus il y a de monde, plus les codes apparaissent, la liste évolue en permanence. Le fait que les codes changent avec les passants n’a de sens que si ces personnes elles-mêmes en sont porteuses. Pour information, les GSM et les objets connectés ne renvoient que rarement ce type de code, mais des noms d’appareils ou des références constructeurs.
Ces codes ne sont visibles qu’avec certains smartphones, Samsung, Asus et d’autres, les IPhones ne les affichent pas, ainsi que certains téléphones chinois. Les smartphones plus anciens sont plus sensibles et sont capables de détecter ces codes alphanumériques uniques sur plus de 20 mètres.
Avant de crier au fake, faites vous-même l’expérience suivante, qui est à la portée de tous :
Vous ne devez pas être vacciné et être en possession d’un smartphone qui détecte ces codes. Vous ne devez avoir sur vous aucune montre connectée et autre oreillette Bluetooth.
Placez-vous dans un endroit naturel ou au centre d’un parking non-fréquenté, à l’air libre, sans personne dans un rayon de 40 mètres, afin de ne pas polluer l’expérience.
Lancez une première recherche de nouveaux périphériques Bluetooth sur votre smartphone, afin de vérifier qu’aucune adresse MAC n’apparait. Ensuite, faites signe à un ami vacciné, situé en dehors du périmètre, afin qu’il vous rejoigne et relancez une nouvelle recherche de périphériques Bluetooth sur votre smartphone. Son adresse MAC unique va apparaitre. Demandez-lui ensuite de retourner où il était, son adresse MAC va disparaitre. Relancez régulièrement la recherche dès qu’elle s’arrête. Vous pouvez recommencer avec plusieurs vaccinés. L’identité numérique de votre ami changera tous les jours.
L’expérience a été répétée de nombreuses fois avec des vaccinés Pfizer et Moderna, et il semble que de rares vaccinés ne renvoient pas de code, même après deux vaccinations, par moment certains codes, préalablement détectés, disparaissent, reste à en déterminer la cause.
Un vacciné peut aussi réaliser seul cette expérience, dans les mêmes conditions, sauf que quand il lancera la recherche des périphériques Bluetooth, son code apparaitra partout où il se trouve et changera tous les jours.
Comment ce tour de force a-t-il été possible ?
La technologie des micro-puces intelligentes permet de réaliser des puces d’un dixième de millimètre, voire moins, comme le précise le fabriquant Hitachi. La taille de ces puces permet leur injection à travers une aiguille de seringue sans le moindre problème.
Les flacons servant à la vaccination contiennent, la plupart du temps, plusieurs doses, il n’est donc pas possible de diluer les puces dans le liquide vaccinal, il y aurait risque d’en aspirer plusieurs en même temps ou pas du tout.
Une puce unique est probablement placée a l’intérieur des seringues ou des aiguilles, qui sont fournies spécifiquement pour la vaccination.
Lors de l’aspiration du liquide vaccinal, la puce située a l’intérieur de la seringue ou de l’aiguille, se dilue dans le liquide et est ensuite injectée avec le produit, dans le muscle.
Fonctionnement
Tant que la micro-puce reste dans la seringue, elle est inactive, mais dès son contact avec le liquide injectable, il se produit une activation radioélectrique de la puce.
Beaucoup essaient de justifier la présence de graphène dans le vaccin, lui attribuant des propriétés toxiques, ou une forme d’intelligence qui agirait sur la physiologie du corps. Sa toxicité est connue, mais elle serait plutôt un effet collatéral chez certains, non recherché par les scientifiques qui ont élaboré le vaccin. Les propriétés électriques du graphène justifient plutôt sa présence.
Au contact du graphène, la puce s’active électriquement et émet son signal Bluetooth, générant son code de marquage. L’élimination progressive du graphène, par les mécanismes naturels du corps, nécessiterait une réinjection régulière de graphène, afin de maintenir la puce active, d’où des rappels ad vitam æternam.
Lors d’injections multiples, plusieurs puces se retrouvent donc dans un même corps, et la première puce injectée doit donc désactiver les puces suivantes, tout en mémorisant le nombre d’injections, afin de ne générer qu’un seul code par sujet inoculé.
Pourquoi les vaccins chinois et russes ont été prohibés en occident ?
Des tests ont été pratiqués en Ukraine et en Russie et les vaccins SputnikV et Sinopharm ne renvoient aucune adresse MAC avec la recherche Bluetooth. Soit ils ne permettent pas le marquage numérique, soit ils utilisent une norme radio autre que le Bluetooth.
Pourquoi imposer violemment cette vaccination inefficace ?
Afin de mettre en place l’identité numérique et le contrôle total des populations, chaque humain, au moins dans les pays occidentaux, doit posséder une identité numérique.
Contrôle des populations
Quand la totalité des populations sera vaccinée/pucée, l’ensemble des systèmes de contrôle sera activé, à travers des lecteurs de puces discrets, placés dans tous les lieux publics, des objets connectés et tout autre système permettant de détecter les puces Bluetooth (Smartphones, télévisions, PC, tablettes, électroménager connecté, capteurs divers et variés…). Ces « détecteurs » renverront l’information de votre présence partout où vous vous rendrez, dans les rues, y compris chez vous.
Ces micro-puces ne permettent pas directement le suivi GPS, qui est système gourmand en énergie et nécessitant une antenne conséquente. Votre géolocalisation sera réalisée indirectement, au moyen des informations sur votre présence, communiquées par la multitude des appareils communicants, qui vont envahir votre vie, si ce n’est déjà fait.
Et la 5G dans le paysage ?
Les antennes 5G ont la capacité de balayer une zone, tel un radar, et d’identifier simultanément les propriétaires des GSM présents dans leurs champs. Cette capacité reliée aux informations renvoyées par la détection de votre puce, permettra, en fonction de contraintes qui vous seront imposées (interdiction de se rendre dans tel endroit, de circuler en voiture, d’entrer dans un hôpital ou un supermarché…), de vous localiser avec certitude et précision, et de déclencher une alerte, avec mise de votre identification numérique en liste noire. Vos comptes en banque, votre permis de conduire, votre carte vitale pourront être immédiatement désactivées et les forces de l’ordre prévenues pour intervention.
Toute personne qui ne possèdera pas de puce valide, ou en fonctionnement, sera facilement localisée, puisque l’antenne 5G essayera de corroborer votre position avec celle renvoyée par les détecteurs locaux. Vous serez donc considérés comme asocial ou terroriste et arrêté, afin d’être inoculé de force, après un séjour de rééducation dans un centre « citoyen ».
Pour quand ?Nous y sommes, la chasse aux non-vaccinés est lancée, ils devront céder, de gré ou de force, afin que ce vaste plan de contrôle des populations se mette en place. La technologie est disponible et va rapidement être effective, avant deux ans, les gens découvriront qu’ils se sont faits pucer sans s’en rendre compte !
L’avenir de l’humanité est donc dans les mains des « ADN Free », les non-vaccinés, leur détermination seule peut encore stopper cette folie de l’oligarchie, ces malades congénitaux.
Honnêtement je me demande comment vous pouvez écrire un tel article sur votre site . lorsque on avance ce genre de chose il faut étoffer et amener des preuves
je trouvais la plupart de vos articles assez intéressant mais la on tombe dans du complotisme bas de gamme qui pullule sur internet .
( et je suis complotiste mais je tiens a rester réaliste et crédible)
a quoi servirait ce genre de puce honnêtement. la portée du Bluetooth est ridicule
bientôt vous allez parler des reptiliens qui contrôlent leur garde manger…
Attention ça dérive grave !
Faites le test peut-être aurez-vous une partie de la réponse.
Je n’ai pas encore réalisé le test donc je ne peux pas affirmer que ce qui est écrit est faux à 100%.
Par contre ce qui est complètement faux c’est de dire qu’uniquement les vaccinés émettent une adresse Mac Bluetooth.
En réalité tous les appareils possédant du Bluetooth émettent une adresse sur 12 digits
bien souvent le monde Apple et Android ne communique pas entre eux, entrainant ainsi la non reconnaissance de l’autre appareil et c’est alors que l’adresse Mac s’affiche plutôt que le nom de l’appareil.
Cette thèse présentée comme un fait est tout à fait abracadabrante : Les adresses MAC listées ici sont en fait des adresses MAC générées aléatoirement par les téléphones modernes. On trouve les articles sur Google en tapant « randomised mac adress bluetooth »
Plus d’info ici : https://www.novelbits.io/bluetooth-address-privacy-ble/
Et là : https://www.mist.com/documentation/ble-mac-randomization/
Elle servent à protéger l’anonymat des personnes qui pourraient se faire pister dans les boutiques et les lieux publics où des routeurs pourraient enregistrer leurs passages.
C’est la norme 4.2 Bluetooth Low Energy (BLE) depuis 2014 qui permet ça.
Rien à voir avec des puces dans les seringues ou les vaccins. Cette thèse est vraiment fantaisiste et abracadabrante voir même schizophrénique. Et comment ces puces pourraient elles fonctionner sans pile, ni antenne, ni connecteurs.. ? en fait quand vous avez fait votre test vous avez aspiré vos propres adresses MAC aléatoires.. c’est tout.
Merci de ces précisions pour le profane que je suis. Il est vrai qu’une micropuce sans source d’énergie est incapable de fonctionner. Aucune technologie connue à ce jour ne permet d’établir le contraire de vos arguments qui sont une évidence.
je suis tout à fait d’accord sur le fait que les adresses sont attribuées par le téléphone aux appareils qui ne répondent pas, mais comment expliquer que ce sont bien les personnes et ni leur smartphone, ni les écouteurs ou un autres appareils qui émettent ce signal inconnu ?
J’ai fait le test moi même sous android avec un appli et c’est bien la personne vacciné qui émet un signal inconnu pas son téléphone, le test est très simple à faire si tu n’es pas un en ville pollué par le Bluetooth
1°/ On trouvera une expérimentation réellement scientifique réalisée par des professionnels prudents, expérimentés et qui connaissent (réellement) les réseaux BT ici : https://lmdb.ouvaton.org/doku.php?id=accueil
C’est le sous-jacent de l’expérimentation dont on voit un bref extrait dans le film Hold On.
Les hypothèses émises dans les commentaires ci-dessus sont analysées et réfutées.
2°/ Pour être vraiment convaincu, il est évident qu’il faut au moins avoir une idée de la façon dont un tel système peut fonctionner. Eh bien, la réponse, là encore apportée par des scientifiques professionnels est ici (connaissances en physique fondamentale et en électronique requises pour suivre) : https://corona2inspect.blogspot.com/
Le site est en espagnol, mais il y a une option de traduction en français satisfaisante. Les gens, même les scientifiques de formation, qui ne sont jamais rentrés en contact avec les propriétés étranges des nanoparticules, et spécialement de graphène ou de ses dérivés vont réaliser que la science avance plus vite qu’eux. C’est assez stupéfiant en effet.
3°/ A peu-près tout le monde peut faire l’expérience très facilement (y-compris avec les iphones, en installant l’utilitaire gratuit « Blue Sniff »), pourtant beaucoup parlent à tort et à travers ; ils auraient pu faire l’expérience mais, très curieusement ne l’ont pas faite (peur du résultat ?).
4°/ Personnellement, je l’ai encore réalisée cet après-midi dans un centre Leclerc. Le résultat est « bluffant » et absolument confirmé : c’est absolument exact. Les périphériques désignés par leur seule adresse MAC sont les vaccinés (qui ne sont pas tombés sur un placebo), les appareils « au sens ancien » (en dur si l’on préfère !) sont toujours désignés par leur nom, ce qui permet de les éliminer. C’est extrêmement clair.
5°/ Compte-tenu du caractère absolument INOUÏ de ce phénomène, je pense qu’il serait souhaitable que Strategika relance une publication très visible sur cette bombe, déjà à peu près enterrée sous le flot continu de nouvelles d’importance moindre.
Bien à vous,
Eugène
Ping :Pass vaccinal en janvier (Castex). L’ordre noir vaccinal en roue libre : il faut dire qu’avec la résistance qu’on lui oppose depuis le début… Florian donc : « Pass Vaccinal et 3 doses par an (tous les 4 mois désormais) en janvier 2022 ! » O
Bonjour et Bonne Année à tous, malgré tout !
J’ai la chance de disposer d’un téléphone qui capte ces adresses et ai reproduit l’expérience en forêt à plusieurs reprises. S’isoler à plus de 200 mètres de la civilisation et lancer la recherche normalement ne donne pas de résultat. Des résultats surviennent à la croisée d’autres personnes. Toujours des adresses MAC à 12 chiffres groupées deux à deux entre des « : » et précédées du symbole Bluetooth. Quelquefois d’autres adresses apparaissent soit d’appareils, soit d’un nom alphanumérique à 18 signes (sensibles à la casse).
Lorsqu’on tombe sur un téléphone le symbole « téléphone » le précède et son nom apparaît derrière.
La recherche d’association retourne une erreur « Impossible d’établir l’association avec xx:xx:xx:xx:xx:xx » mais l’adresse reste toujours visible.
Je comprend que seulement la moitié de l’adresse identifie l’individu soit 2 exposant 8 exposant 3 soit 16 777 216 de possibilités d’adresses uniques. C’est deux fois plus que nécessaire pour l’instant.
La question que je me pose est pratique : Comment font-ils pour que cette adresse soit unique ?
Avez-vous un idée ? Merci pour votre aide.
Sous linux avec une clef USB Bluetooth low cost, deux commandes à utiliser, rien à installer.
#infos supplémentaires nom du fabricant et rssi
btmon > BLE_log.txt &
#scan des MAC
hcitool lescan
ou lancer wireshark sur bluetooth0 pour avoir ces infos dans la trace décodée
Autre commande possible
#scan BT Low Energy avec rssi
btmgmt find |grep rssi
#filtrage des infos MAC et fabricant
cat BLE_log.txt | grep « Address:\|Company: »
Le scan BT Low Energy (LE), donne MAC et rssi la force du signal.
Possible de déplaçer le PC ou le cable pour localisation de l’émetteur BLE.
Les types d’adresse possibles avec btmon BLE: Public ou Random.
Sous android, j’ai essayé:
BLE Scanner v3.20, trouve des MAC identiques à linux, ne donne le nom du fabricant que sous la forme d’une icône sous le cercle dBm (pas facile à interpréter sauf pour la pomme, pas lisible pour samsung par exemple, nom en clair avec btmon), donne la force du signal et une distance estimée. Vraiment très bien comme appli, dommage que l’identifiant du fabricant n’apparaissent pas explicitement en texte comme avec btmon.
Bluetooth Finder v1.3, trouve des MAC identiques à linux mais en rate beaucoup, scanne les devices LE et devices classiques, ne donne pas le nom du fabricant, donne la force du signal et une distance estimée.
L’outil le plus complet, même s’il est plus rustique, c’est btmon avec hcitool.
Dans mon patelin je vois
des MAC de type « Public », fixes, de fabricants connus, donnés par btmon.
des MAC de type « Random », commençant par 4,5,6,7,… randomisation des adresses prévue dans le protocole voir “BLE Privacy”, également de fabricants connus, donnés par btmon.
Je continue à chercher des MACs non identifiables, et depuis que je vois le fanatisme ambiant au plus haut niveau pour un produit pas vraiment efficace, cette histoire a piqué ma curiosité, il y a peut être un truc pas net. Mais je serai le premier scotché si nos savants fous ont réussi à créer un tag injectable alimenté soit par les fluides corporels (voir pile volta), soit par un effet d’antenne (voir récepteur à galène sans aucune pile audible sur écouteur). Si confirmé, aller simple vers Nuremberg pour les coupables.
J’ai fait personnellement le test avec mon smartphone assez ancien :
Dans ma maison relativement isolée (où personne n’est vacciné) n’apparaissent que mon smartphone lui même et un autre appareil (genre Dongle Bluetooth) avec un nom…
Lorsque l’infirmière (triplement vaccinée) de ma mère est entrée, une adresse MAC est apparue (du genre « Misc 6C:92:D5:FD:05:58 ») et a disparu une fois qu’elle a quitté la maison (je précise que sur son smartphone le Bluetooth n’était pas activé).
Donc, oui il semble bien qu’il existe une adresse mac liée à des personnes vaccinées (on pourrait facilement faire un test plus important avec un groupe de personnes vaccinées et un groupe témoin de non-vaccinés)…
Cela peut être utile dans le cadre d’un test de phase 3 généralisé pour savoir quel type de flacon a été utilisé avec tel patient… ou bien dans un but de contrôle de la population car même si la portée du Bluetooth est d’environ 10m, il suffit que des relais soit présents dans des endroits clés. En tous cas, la férocité avec laquelle on veux injecter a toute la population des vaccins en dehors de toute justification sanitaire véritable (voir les dernières vidéos de l’IHU de Marseille et les derniers propos d’E macron) est suspecte !