Question à mille milliards : êtes-vous climato-sceptique ou climato-génocidaire ?- Nicolas Bonnal
Par Nicolas Bonnal
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Le climato-scepticisme devient un crime capital : remettre en cause la doxa est passible de la peine de mort ; c’est comme de remettre en cause le vaccin – même après que Bourla et Biden en ont démontré bruyamment l’inutilité. La bécasse Karine Viard a répété après dix mille autres crétins cousus d’or que l’on ne doit pas soigner les gens non vaccinés (comme si on soignait les autres à l’heure où les hôpitaux finissent à la poubelle), et ce avec l’assentiment du parterre coutumier de journalistes et d’ilotes téléphages.
Tout cela ne fait que souligner une nouvelle fois cette plus très discrète volonté génocidaire : ces gens-là veulent tuer, ces gens-là veulent en voir d’autres mourir, et si possible participer à leur mort – voyez Biden qui veut achever l’électorat républicain au F16 en Amérique, Biden l’adoré des médias oligarchiques et subventionnés d’occident. Le scepticisme doit être puni de mort, et d’ailleurs le gouvernement nazi (comment dire autrement ?) des Allemands, gouvernement qui doit monter l’exemple comme on sait, veut et vacciner tout le monde et priver tout le monde d’eau et de bouffe et d’électricité cet hiver ; le tout comme on sait pourrait être accompagné d’une nouvelle guerre d’extermination contre la Russie (les USA sont sûrs de la gagner !) et d’une énième croisade pour la démocratie occidentale aux couleurs de Wall Street et de la City.
Retour sur le débat Macron-Le Pen : le prince-président à vie l’accuse d’être complotiste (elle remarque qu’il n’y aura pas d’éolienne pour saccager le paysage bourgeois-pluvieux du bled présidentiel) puis d’être climato-sceptique – ou à la limite : si elle n’était pas à la limite elle ne serait pas au parlement mais en garde à vue comme Eric, – en attendant les camps.
Il faut donc expliquer ce que climato-génocidaire signifie : nous sommes trop nombreux et nous consommons trop ; les blancs que nous sommes ayant connu la révolution industrielle avant les autres doivent déguerpir les premiers ; l’écologie est la vraie religion et Dame Greta est sa prophétesse qui œuvre pour la déesse-mère Gaia ; toute la culture woke ou cancel est une culture malthusienne d’annihilation démographique dans la grande tradition britannique : voyez les textes sur le génocide irlandais (An Gorta Mor) et ceux de Marx sur les causes historiques du désert écossais. On est content que le prince Charles soit enfin aux manettes, car on va pouvoir s’amuser grandement. La consommation des hommes doit remplacer la société de consommation. Retour au cannibalisme par conséquent.
Toute la culture médiatique depuis que je suis né ne tourne qu’autour de ces idées ; apocalypse, dystopie, pénurie, fin des ressources, etc. Ma femme les a recensées dans son livre sur Philip K. Dick qui a tout décrit entre les années cinquante et soixante-dix, y compris malheureusement le grand abrutissement télévisé déjà montré dès le début par des maîtres comme Stanley Donen (it’s always fair weather), Preminger (Skidoo) ou Nunnally Johnson (l’Homme au complet gris). Cette culture de la catastrophe sur fond de crétinisation préalable (voir mon émission) nous préparait très bien au cauchemar techno actuel qui a fabriqué des gens prêts à mourir pour la cause. Car il y a ceux prêts à tuer pour la cause (on ne les nomme plus) et ceux qui sont prêts à mourir pour la cause, qui auront finalement pris et repris du vaccin pour cette raison.
Il me parait clair que les climato-sceptiques ont moins de souci à se faire que les autres. Il me semble aussi qu’il faut leur retourner le compliment : être sceptique est moins dangereux qu’être génocidaire – surtout génocidaire à la sauce écolo-humanitaire.
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