Un célèbre professeur belge, pro-vaccin, soupçonne l’injection de rappel Pfizer d’avoir aggravé son cancer
Source : reseauinternational.net – 3 Novembre 2022 – Aguelid
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Michel Goldman, professeur d’immunologie et de pharmacothérapie à l’ULB, soupçonne sa 3ème dose Pfizer.
Cette pauvre victime des injections hasardeuses d’ARN messager sera certainement traitée par ses confrères covidistes, d’antivax complotiste méchant méchant très méchant ! Il a pourtant été vacciné 3 fois et a également poussé à l’injection criminelle !
Le Pr Michel Goldman, ardent promoteur des vaccins, revient sur les circonstances entourant l’aggravation brutale de son lymphome.
Une parole inattendue
Dans une interview donnée au média américain The Atlantic, le professeur a décidé de faire part de ses suspicions quant à la responsabilité de sa troisième dose de vaccin Pfizer dans l’aggravation de son cancer. Après le diagnostic d’un lymphome T angio-immunoblastique (LTAI), un cancer très agressif, et anticipant l’affaiblissement de son système immunitaire causé par la chimiothérapie, le Pr Goldman explique avoir décidé de faire rapidement le rappel vaccinal contre la Covid-19 avant d’entamer son traitement. Mais au bout de quelques jours, Michel Goldman s’est senti de plus en plus mal. Son frère, un scientifique qui enseigne également à l’Université libre de Bruxelles, lui programme donc un nouveau scanner corporel le 30 septembre 2021.
Un résultat très inquiétant
En regardant l’examen radiologique, les deux frères constatent que son cancer s’est développé à une vitesse très anormalement élevée. « On avait l’impression que quelqu’un avait allumé des feux d’artifice à l’intérieur de l’organisme de Michel », rapporte The Atlantic. Le scanner initial avait été « un peu inquiétant », a déclaré Serge Goldman à The Atlantic, car il montrait un groupe asymétrique de ganglions cancéreux autour de l’aisselle gauche de Michel, là où les deux premières doses de vaccin avaient été administrées.
Le scanner réalisé après la troisième dose de Michel Goldman a montré que l’asymétrie du cancer s’était inversée et qu’il était regroupé autour de son aisselle droite, là où il avait reçu la troisième injection. Les frères savaient qu’il pouvait s’agir d’une simple coïncidence, mais ils ont pensé qu’il était important d’étudier la possibilité que le vaccin soit à l’origine de ce regroupement, car cela pourrait signifier que d’autres personnes atteintes de certaines formes de cancer risquent de voir leur maladie progresser plus rapidement sous l’effet du vaccin Covid-19.
Un appel à la communauté scientifique
Le 25 novembre 2021, avec son frère et d’autres collègues, le Pr Goldman a publié une étude de cas dans la revue médicale Frontiers, décrivant son expérience, dans laquelle il appelle la communauté scientifique à étudier l’impact de la vaccination ARNm chez les patients diagnostiqués avec un LTAI afin de déterminer si ce phénomène se produit chez d’autres patients de ce groupe. Au sujet de la nouvelle injection de rappel, le professeur avoue : « Je ne sais pas encore ce que je vais faire ». Malgré son cas personnel, il reste convaincu des bienfaits du vaccin pour la majorité de la population.
Après avoir essayé de convaincre des millions de gens de se faire vacciner, nul doute qu’il doit être difficile pour ce professeur d’ouvrir les yeux sur l’ampleur des effets indésirables des vaccins anti-Covid.
Le professeur est un dangereux complotiste, méchant et borné, qui devrait aller à la quatrième dose le plus vite possible pour se faire pardonner.
« Malgré son cas personnel, il reste convaincu des bienfaits du vaccin pour la majorité de la population ».
Que penser d’un médecin convaincu des bienfaits d’une injection expérimentale ?
A ce stade ce n’est plus de la science, mais relève plutôt de la foi.
S’il acceptait de changer son point de vue sur cette injection alors ,tout ce sur quoi il a fondé sa vie professionnelle mais aussi personnelle ,serait remis en cause et il ne peut pas l’accepter ,il renonce et poursuit sa route qui risque d’être abrégée malgré sa découverte.
C’est à la lumière du livre éloge de la fuite de Henri Laborit que je crois comprendre son acte.
« Se révolter, c’est courir à sa perte, car la révolte, si elle se réalise en groupe, retrouve aussitôt une échelle hiérarchique de soumission à l’intérieur du groupe, et la révolte, seule, aboutit rapidement à la soumission du révolté… Il ne reste plus que la fuite. »
Henri Laborit pose, à la lumière des découvertes biologiques, la question de notre libre arbitre, de notre personnalité même. La politique, la société, tout prend dès lors une autre dimension