La dictature de la gauche milliardaire au pied du mur – Nicolas Bonnal
Par Nicolas Bonnal
Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualité
Pour nous soutenir commandez le livre : “Globalisme et dépopulation” édité par Strategika
La Fortune s’éclate ! Titrait l’Huma en 1984 déjà. Jamais la bourse n’a autant monté que sous les socialistes, et Macron digne rejeton de Mitterrand continue de défendre les marchés et d’enchanter les bourgeois du Figaro. Malheureusement le phénomène Macron n’est au final que le mélange du bonapartisme impérial-administratif et du gauchisme culturel.
1984 fut à maints égards une année orwellienne en France. Comme je l’avais noté deux grands voix de gauche se sont élevées à cette époque : celle de Guy Hocquenghem (Lettre ouverte à ceux qui sont passés du col Mao au Rotary) et celle de mon éditeur Thierry Pfister (Lettre ouverte à la génération Mitterrand qui marche à côté de ses pompes) ; en réalité la gauche comme au temps de l’affaire Dreyfus (voyez les analyses de mon ami Shamir) ou du New Deal de Roosevelt avait tourné casaque : aplatir le peuple et le lancer dans la guerre – tout en se réclamant de ces idéaux oligarques-humanitaires qui poussent à la guerre.
La création de la gauche caviar des milliardaires-humanitaires qui poussent à la guerre jadis contre l’Allemagne ou le Japon, aujourd’hui contre la Chine ou la Russie est une vieille histoire occidentale. On y retrouve l’éternel protestantisme nourri au reset, le libéralisme juif, le progressisme des Lumières, le catholicisme de gauche remixé Vatican II, le libéralisme libertaire et le capitalisme artiste décrit jadis par Luc Boltanski. Tout cela a créé l’armature idéologique bobo qui nous mène on le sait au fascisme écolo, à la folie homo-féministe et à la catastrophe économique et même militaire.
Le basculement de la gauche qui est passé du plan social au plan sociétal en trahissant son électorat (le Nobel sera attribué à Hollande, à Obama ou au monstrueux Tony Blair qui veut lui imposer son fascisme vaccinal à tous les gueux de la terre) s’est approfondi et devient tyrannique-psychopathe : fin des sexes, théorie du genre, ouverture lunatique-hallucinée des frontières, saccage de politiques sociales, sabotages des États, des nations (ou de ce qu’il en reste) et culture belliciste et apocalyptique façon BHL, cet Ezéchiel de drugstore disait je en sais plus qui il y a déjà quarante ans…
Comme je l’ai montré aussi cette dictature du libéralisme libertaire ou de la gauche caviar s’est appuyée depuis les années soixante (les années Lyndon B. Johnson pour être précis) sur une crétinisation des populations (génération Johnny-Jerry Lewis-Beatles-Mel Brooks-fille du gendarme) via la musique, la télé, la sous-culture et le déclin de tout ce qui était autoritaire. C’est la fin de la personnalité autoritaire du psychopathe Adorno qui crée le fascisme médical, le nazisme humanitaire, l’imbécillité médiatique et la capilotade militaire face aux russes.
De Macron à Mitterrand les gauchistes-Soros de salon iront jusqu’au bout avec le Figaro pour les encourager. L’aveuglement de cette caste devenue ignare et teigneuse (voyez Blinken, Nuland ou BHL encore) nous mènera à une catastrophe méritée à l’issue de laquelle Attali expliquera comment tout reconstruire.
les sociétés européennes socialo humanistes , qui ne sont que des parodies politiques de la chrétienté du bon samaritain , sont quand même facilement réceptrices des saloperies venues du monde judéo-protestant anglo-saxon ….
« Humaniste » ? tarte à la crème, poncif galvaudé par nos perroquets médiatiques et politiques qui ont perdu leur colonne vertébrale pour devenir des invertébrés.
Comment représenter « l’humain » quand on passe sa vie à ramper ?
Il faut patienter. Tant qu’il y a de la vie il y a du désespoir :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2023/02/14/du-reve-europeen-au-cauchemar-mondialiste-preface-de-notre-prochain-recueil-intitule-autrement-tant-quil-y-a-de-la-vie-il-y-a-du-desespoir-ou-le-jeu-de-la-mort-et-du-kha/
Cette révolte contre l’autorité et donc le père (censé la représenter) a des relents Freudiens, dont la vision hypersexualisée de la société nous amène à la folie mortifère L.G.B.T.Q etc…et nous rabaisse plus bas que des animaux puisque ces derniers s’accouplent dans le but de procréer sans avoir recours au chemsex
Le slogan « Il est interdit d’interdire » contenait déjà tout le paradoxe infernal que nous subissons.
« Jouissons sans entraves » s’entend aussi sur le plan financier et dépasse les horizons des partis…