Globalisme et guerre climatique – Pierre-Antoine Plaquevent

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Existe-t-il des moyens technologiques d’influer sur la météo et/ou le climat ? Si oui, ces moyens sont-ils déjà employés et ont-ils ou peuvent-ils avoir un impact effectif et significatif ?

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Chaque épisode météorologique exceptionnel (ou présenté comme tel) est désormais le prétexte à une mobilisation intense de l’opinion publique. Une mobilisation cognitive qui se déploie au travers de tous les canaux médiatiques disponibles. La science météorologique[1] est ainsi à son tour enrégimentée pour les besoins de la cause globaliste et ne laisse aucun répit à l’esprit public qui est censé passer (« switcher ») d’une peur à une autre, d’une anxiété à une autre. Alternant ainsi successivement états de fébrilité puis d’aphasie sous le poids de l’« éco-anxiété » et de la culpabilité climatique. Culpabilité censée remplacer la place du péché originel dans le cœur de l’habitant athée de Cosmopolis, la termitière globale, véritable prolétaire contemporain en sursis sanitaire, économique et climatique constant.

C’est la nouvelle norme de la « politique panique » qui s’est progressivement installée en Occident depuis la fin du XXème siècle et qui devient aujourd’hui exacerbée et discontinue. La peur climatique succède ainsi (pour l’instant) aux deux années de peur virologique avec laquelle l’humanité fut tenue en laisse courte par la Davocratie.

Nous ne traiterons pas ici de la thématique du réchauffement climatique en tant que tel, ce sera l’occasion d’un futur travail spécifique[2]. Comme nous l’avons déjà longuement exposé en ce qui concerne les questions sanitaires ou de démographie politique[3], qu’il soit avéré ou pas, durable ou passager, d’origine anthropique ou non, le prétexte du réchauffement climatique est utilisé afin d’enrôler l’ensemble de la société pour la remodeler selon l’agenda cosmopolitique-cybernétique de la Quatrième révolution techno-industrielle[4] et de sa Grande réinitialisation. Comme pour ce qui relève des pandémies, le climat devient ici le prétexte idéal pour imposer de manière globale et dans l’urgence, des changements sociaux et politiques radicaux qu’il serait en temps normal impossible d’imposer à une si grande échelle.

Le dérèglement climatique ou les pandémies constituent des ennemis extérieurs et supranationaux qui permettent de maintenir la société dans l’état de tension et de « stress » nécessaire au passage d’une étape à une autre de l’agenda globaliste. Le réchauffement climatique constitue ainsi l’ennemi mondial idéal pour renforcer le projet de gouvernance mondiale intégrée. Face à un ennemi sans frontières comme le réchauffement climatique, la réponse ne peut qu’être que globale, supranationale et supra-étatique.

Au vu de cette instrumentalisation de la question climatique par le discours et la praxis globaliste, nous nous pencherons d’abord ici sur des questions d’ordre technique : existe-t-il des moyens technologiques d’influer sur la météo et/ou le climat ? Si oui, ces moyens sont-ils déjà employés et ont-ils ou peuvent-ils avoir un impact effectif et significatif ?

Est-il possible qu’un épisode long de sécheresse ou à l’inverse des pluies anormalement intenses ou même des tempêtes puissent être générés de manière artificielle et être ainsi employés comme les vecteurs tactiques et furtifs d’une véritable guerre invisible ?

C’est ce que nous allons tenter de démêler dans la présente étude.

[1] Science à laquelle le père de l’eugénisme darwinien, le brillant Sir Francis Galton, apportera une contribution majeure.

[2] Voir déjà par exemple ici : Cop 27 : petit vade-mecum climato-réalistehttps://dev.strategika.fr/2022/11/10/cop-out/

[3] https://dev.strategika.fr/2022/07/10/sortie-livre-globalisme-et-depopulation-de-pierre-antoine-plaquevent/

[4] https://fr.weforum.org/agenda/2017/10/la-quatrieme-revolution-industrielle-ce-qu-elle-implique-et-comment-y-faire-face/