Bertrand de Jouvenel et le droit bestial aux siècles de la démocratie totalitaire – Nicolas Bonnal

J’ai déjà cité Jouvenel et traité sa notion de la démocratie totalitaire. Mais en relisant son livre
inépuisable Du Pouvoir j’y trouve, vers la page 510, cette notion étonnante de droit bestial. On a vu
que le droit permet tout et justifie tout en démocratie totalitaire, comme les élections. Vous aurez la
guerre et la tyrannie, avec la bénédiction du clergé et du prolétariat électoral. Le virus puis le vaccin
puis la guerre – tout sera bon en démocratie pour justifier n’importe quelle horreur.

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Guerre antirusse et symbolique de la désindustrialisation occidentale – Nicolas Bonnal

es USA produisent moins de 10% de l’acier chinois, et qu’ils en produisent trois fois moins qu’au début des années 70. La France et l’Europe sont désindustrialisées – le seul pays qui résistait était l’Allemagne, liquidée par son larbin social-démocrate au pouvoir, qui en même temps qu’il anéantit goulument l’industrie veut envahir la Russie pour se faire bien voir de ses maîtres de Washington et par ses voisins polonais (qui lui réclament 1300 milliards)…

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Soljenitsyne et le gazoduc (discours de Harvard) – Nicolas Bonnal

« Si le monde ne touche à sa fin, il en a atteint une étape décisive dans son histoire, semblable en importance au tournant qui a conduit du Moyen-Âge à la Renaissance. Cela va requérir de nous un embrasement spirituel. Il nous faudra nous hisser à une nouvelle hauteur de vue, à une nouvelle conception de la vie, où notre nature physique ne sera pas maudite, comme elle a pu l’être au Moyen-Âge, mais, ce qui est bien plus important, où notre être spirituel ne sera pas non plus piétiné, comme il le fut à l’ère moderne. » Soljenitsyne

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La dictature de la gauche milliardaire au pied du mur – Nicolas Bonnal

La création de la gauche caviar des milliardaires-humanitaires qui poussent à la guerre jadis contre l’Allemagne ou le Japon, aujourd’hui contre la Chine ou la Russie est une vieille histoire occidentale. On y retrouve l’éternel protestantisme nourri au reset, le libéralisme juif, le progressisme des Lumières, le catholicisme de gauche remixé Vatican II, le libéralisme libertaire et le capitalisme artiste décrit jadis par Luc Boltanski. Tout cela a créé l’armature idéologique bobo qui nous mène on le sait au fascisme écolo, à la folie homo-féministe et à la catastrophe économique et même militaire.

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Qui va gagner cette guerre ? – Nicolas Bonnal

Cette guerre aide à ruiner les peuples occidentaux et à enrichir les riches : les agendas ainsi sont remplis, les carnets de commande sont pleins, les actionnaires contents – les nonagénaires génocidaires euphoriques comme jamais. La brutale et interminable opération spéciale a renforcé facilement le pouvoir des oligarques qui a coup d’invocation humanitaire mènent toujours les masses hébétées ou enthousiastes à l’abattoir – ici sociale et carbonique – comme ils veulent.

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Ecologie, russophobie, extermination malthusienne : comment notre société mondialiste recycle Hitler – Nicolas Bonnal

J’ai écrit en 2017 un petit texte sur des commentaires de mon ami libertarien Shaffer Butler. Sur un test portant sur des hommes politiques anonymes, Shaffer s’était rendu compte que ses étudiants gauchistes écolos et humanitaires étaient plus proches d’Hitler que de Jefferson. Que dirait-il aujourd’hui alors que leur construction européenne veut accoucher d’une guerre d’extermination continentale ?

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De Daudet à Davos : comment le capitalisme fait disparaître la Suisse – Nicolas Bonnal

Les étasuniens aiment rayer de la carte les pays hostiles, mais il y a d’autres méthodes qu’Hiroshima pour faire disparaître l’humanité (étudiez d’un autre œil la guerre du Pacifique) : C’est le sujet de ce papier inspiré par un de nos maîtres les moins compris, Alphonse Daudet.

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Walt Whitman et la destinée maudite des USA en 1870 – Nicolas Bonnal

En relisant Christopher Lasch (spécialiste de cette époque fondamentale : les sixties) je tombe sur une citation du prestigieux poète Walt Whitman, dont je n’avais jusque-là qu’une approche universitaire donc nulle. Il se trouve qu’après la Guerre de Sécession, Whitman se rend compte comme Melville que son pays est devenu fou et dangereux. « Nous vivons dans une atmosphère d’hypocrisie partout. Les hommes ne croient pas aux femmes, ni les femmes aux hommes. Une hauteur méprisante règne en littérature. Le but de tous les littérateurs est de trouver de quoi se moquer. … Les grandes villes puent le vol et la crapule respectables autant que non respectables. Dans la vie à la mode, la désinvolture, les amours tièdes, l’infidélité faible, les petits objectifs, ou pas d’objectifs du tout, uniquement pour tuer le temps. »

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