Couple franco-allemand : quand Himmler écrit à de Gaulle – par Nicolas Bonnal

Le couple franco-allemand est brinquebalant mais terriblement totalitaire et belliqueux. Rien ne l’arrêtera dans sa volonté de faire souffrir ses propres populations (les « peuples » ayant disparu) ou de guerroyer pour l’occident, notion nazie utilisée par Rebatet dans ses Décombres.

Voyons alors d’où peut lui venir une telle volonté de nuire et de détruire à ce couple maudit.

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De la pleurnicherie humanitaire à la mission génocidaire occidentale – Nicolas Bonnal

La pleurnicherie humanitaire c’est aussi l’arme pour repeupler l’Europe ou ce qu’il en reste (ce n’est pas que les vieux machins imbibés de télé que nous sommes devenus m’inspirent de la pitié, mais…). Merkel a commencé par pleurnicher avant de faire rentrer deux millions de migrants dont 12% ont obtenu un travail. On ne parlera pas du reste. Il faut trouver un bon sujet de pleuraison, si j’ose dire, mot qui remplace la raison : tout sera bon pour incriminer le petit homme blanc (le juif du vingt-et-unième siècle, dit justement Jonah Goldberg dans son étude magistrale sur le fascisme libéral) qui est de trop sur cette terre et lui reprocher sa simple existence. Les gouvernements européens, tous de centre-gauche au service des oligarques américains, se doivent donc de réduire leur stock de populations à seule fin (faim) de satisfaire les agents malthusiens de nos élites enturbannées.

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« Si peu de destinée dans le regard » : De Gaulle et la fin des Français – Nicolas Bonnal

Freud qui annonçait même, à cause du développement de la culture, la disparition démographique des races les plus évoluées… Plus personne n’a rien à foutre de rien, à commencer par ce pape et son troupeau de fidèles bidules et tièdes. Les communistes, les socialistes, les nationalistes ? Laisse tomber ! Il ne reste que le fric, mais il permet de se payer de moins en moins de choses. (…) les joyeux débuts du bobo planétaire et jouisseur (…)

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Poutine face à la dictature génocidaire européenne – Nicolas Bonnal

Comme dit Trotski, si tu veux obéir au capital américain et mettre l’européen à la portion congrue (voyez mon texte), vote socialiste ! Marié au mondialisme, au multiculturalisme et au féminisme mondain, la deuxième internationale ne s’est jamais aussi bien portée, qui contrôle les deux tiers (les deux tiers ou la totalité ?) du parlement français. Les peuples zombis occidentaux convaincus d’être les lumières du monde se laisseront mener jusqu’au bout à l’abattoir. La liquidation des européens via le vaccin ou cette année les sanctions devient un fait avéré, sauf pour la masse des idiots et la minorité des saligauds qui les mènent à l’abattoir.

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Martyanov et la montée eschatologique de la stupidité en occident – Nicolas Bonnal

Que nous apprend cette crise du virus, cet idéal de frugalité énergétique, ce goût presque teutonique pour le camp de concentration planétaire ? Que nous sommes des idiots et des lâches dirigés par des tyrans mal élus et débiles, dont les solutions sont criminelles, suicidaires, inefficaces. Le dénominateur commun de tout cela c’est l’idiotie. La foule mondialiste veut du reset et du vaccin, de la prison et de la mort – ce que son élite appelle par exemple la transition énergétique. Elle veut aussi de l’esclavage volontaire, et cette soumission, on le sait depuis La Boétie et depuis l’Antiquité, accompagne l’idiotie.

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1944 : pourquoi de Gaulle préférait Staline à Roosevelt – Nicolas Bonnal

Dans ses Mémoires de guerre, le Général entrevoit et dénonce la mondialisation américaine, le déclin pathétique de l’Europe, la fin des empires coloniaux, la liquidation du millénaire Etat-nation, liquidation à laquelle nos élites ou supposées telles ont depuis pris une si joyeuse part. C’est d’ailleurs pour cela que le Général de Gaulle ne cesse de vouloir se rapprocher de la Russie, fût-elle dirigée par le Maréchal Staline. Ce dernier apparaît sous sa plume non pas comme le diable de nos historiens de plateau mais plus simplement comme le gentil ogre avec qui il faut apprendre à s’entendre.

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Sur la prochaine légitimation du cannibalisme en occident – Nicolas Bonnal

Quelques années trop tard, certains découvrent enfin le crétinisme. La télé puis les réseaux puis la technologie fabriquent un homme encore plus imbécile et limité que l’homme typographique de Macluhan, l’homme à qui on fait tout avaler. Et ceux qui ont avalé épidémie, vaccin, confinement, code QR et tutta quo sans encombre avaleront le reste, dussent-ils becqueter la moitié de leur famille décimée par le vaccin pour faire plaisir au marionnettiste.

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Observations sur Chevtchenko et le patriotisme ukrainien – Nicolas Bonnal

les ukrainiens n’avaient aucune raison de se satisfaire des conquêtes russes (sans oublier le génocide sous Staline qui est froidement nié par certains aujourd’hui), qui ont toutes les raisons de se venger des traitements dont ils furent victimes dans le passé. Le même discours prévaudrait en Bretagne, en Corse ou en Catalogne, sauf qu’ici il y a aujourd’hui des morts. Il y en a parce que le ressentiment patriotique est très fort, parce que les anglo-saxons sont intervenus par habitude russophobe

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Ernst Jünger contre le totalitarisme médical – Nicolas Bonnal

« Éviter les médecins, s’en reposer sur la sagesse du corps, mais prêter à ses avis une oreille attentive, c’est pour le bien-portant la meilleure des ordonnances. « Quoi qu’on pense de ce monde de sécurité sociale, d’assurances-maladie, de fabriques de produits pharmaceutiques et de spécialistes – on est plus fort quand on peut se passer de tout cela. »

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Vaincre la Russie en exterminant son (propre) peuple : le grand pari européen – Nicolas Bonnal

La guerre contre la Russie a servi depuis le début comme je l’ai dit à nous préparer au grand reset et à la coupure d’énergie si nécessaire pour mettre fin au réchauffement climatique – c’est-à-dire à la vie humaine qui va avec. Orwell a bien dit qu’une guerre ingagnable est une guerre bonne pour l’élite qui ruine la population et qui aplatit le niveau de vie donc la capacité de réagir. Les occidentaux râlaient dans les années 60 et 70 quand leur niveau de vie augmentait, aujourd’hui qu’il s’effondre, ils rasent les murs.

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