La crise du coronavirus a permis d’accélérer le mouvement de globalisation, qui la précédait. Mais les instruments politico-juridiques ne sont plus adaptés à la nouvelle situation : si les Etats, qui résistaient encore, ont failli, le défaut de base légale est flagrant et l’installation d’une gouvernance externalisée des peuples et des pays dans la durée ne peut entrer dans les cadres restreints des législations d’urgence et des traités existants. Au son de « Plus jamais ça ! », comme s’il s’agissait d’une guerre sainte – qui ne soit menée justement contre nous, l’ONU et l’OMS appellent à l’adoption rapide d’un Traité pandémique, désarmant les Etats, renforçant justement les pouvoirs et « l’indépendance » …de l’OMS. I
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