Contrôle d’Internet : la Russie veut tester sa déconnexion du Web mondial – Charles Sannat

’une des conclusions de cette tentative russe, c’est qu’Internet est hyper contrôlé et que si un État veut censurer, ou interdire, rien n’est plus simple pour une puissance publique. ’autre enseignement est que loin de se calmer, les tensions géopolitiques au contraire s’accroissent et que le monde se sépare progressivement à nouveau en deux. Est et Ouest. Nous allons vers un rideau de fer numérique pour éviter les cyberattaques d’un côté comme de l’autre.

Lire la suite

Derrière le rideau : le piétinement du droit international humanitaire par l’armée ukrainienne – Arnaud Develay

Tous ceux qui suivent à distance les informations provenant des lignes de front dans le conflit ukrainien connaissent désormais les récits d’exécutions sommaires et de mauvais traitements de militaires russes aux mains de bataillons nationalistes depuis le début de l’opération militaire spéciale par la Fédération de Russie.

Lire la suite

L’UE réfléchit aux moyens de censurer les points de vue russes

« Au delà de la désinformation : la réponse de l’UE à la menace des manipulation étrangères de l’information ». Il s’agit en fait de réfléchir aux moyens de censurer dans l’Union tous les points de vue russes. L’UE a déjà censuré les chaînes de télévision Russia Today et l’agence Sputnik. La réflexion s’oriente désormais vers la censure des citoyens de l’Union qui relayent leurs points de vue, qu’ils les partagent ou non.

Lire la suite

Des projets de loi prévoient l’emprisonnement de ceux qui doutent des vaccins au Brésil

Rédigé par le sénateur Angelo Coronel (PSD), le PL 5555/2020 prévoit d’inclure dans le Code pénal une peine d’emprisonnement de un à trois ans pour les personnes qui omettent ou s’opposent à la vaccination obligatoire des enfants ou des adolescents en cas d' »urgence de santé publique ». Le projet criminalise également, avec une peine de deux à huit ans de prison, les personnes qui refusent de prendre les doses obligatoires de vaccins.

Lire la suite

« Du côté de la diplomatie » : Le Brésil rejette la demande de Berlin de fournir des armes à l’Ukraine

Contrairement à l’Allemagne et aux autres puissances occidentales, le Brésil rejette toute livraison d’armes à l’Ukraine et préconise une initiative de médiation pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Les États du Sud appellent depuis longtemps, et avec une intensité croissante, à une solution négociée.

Lire la suite

Envoi d’armes en Ukraine : l’Autriche et la Hongrie disent « stop »

L’Autriche et la Hongrie n’enverront pas d’armes en Ukraine, a déclaré le ministre hongrois de la Défense Kristóf Szalay-Bobrovniczky lors d’une réunion avec son homologue autrichienne Klaudia Tanner à Budapest lundi, tout en soulignant l’étroite coopération entre les deux pays voisins.

Lire la suite

La guerre en Ukraine pouvait s’arréter en mars dernier! Poutine et Zélensky étaient prêts à signer, l’Otan n’a pas voulu

L’ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett : L’OTAN « a décidé qu’il fallait continuer à écraser Poutine, et non pas négocier… Ils ont rompu les négociations, et puis il m’a semblé qu’ils avaient tort ». Le ministre turc des Affaires étrangères a confirmé et a accusé l’OTAN de saboter les négociations de paix : « Il y a ceux au sein des États membres de l’OTAN qui veulent que la guerre continue – laissez la guerre continuer et la Russie s’affaiblit. Ils ne se soucient pas beaucoup de la situation en Ukraine »

Lire la suite

Poutine et Zelensky “voulaient un cessez-le-feu” mais les négociations ont été rompues par les pays occidentaux, explique Bennett

Le processus de négociation entamé à l’initiative d’Israël en mars 2022, quelques jours après le déclenchement de l’offensive russe en Ukraine, a été rompu par les pays occidentaux, selon l’ex-Premier ministre israélien, Naftali Bennett, à l’époque médiateur entre Moscou et Kiev. Celui-ci a révélé le samedi 4 février 2023 que les États-Unis, la France et l’Allemagne, qui coordonnaient cette mission, “ont bloqué” le processus. Pourtant, affirme-t-il, “j’avais l’impression qu’ils voulaient tous les deux [Zelensky et Poutine] un cessez-le-feu”.

Lire la suite