Description
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L’été s’annonce brûlant sur le front migratoire : à l’heure où la libre circulation des citoyens européens est radicalement remise en cause par des instruments de contrôle sanitaire et ce, même à l’intérieur de leurs frontières nationales, la pression des migrants sur les frontières de l’Union Européenne s’accentue un peu plus chaque jour. Pierre-Antoine Plaquevent, le site strategika.fr et leur correspondant RSR publient en exclusivité des extraits de Pêcheurs d’hommes, activité des navires-ONG. Il s’agit du premier dossier à ce jour qui traite de l’ensemble de l’activité des ONGs et des acteurs de la route migratoire de la Méditerranée centrale. ONGs qui reprennent aujourd’hui la mer avec toujours plus de moyens.
Sea-Watch, Open Arms, Carola Rackete ou Ocean Viking : ces noms rythment l’actualité depuis plusieurs années. Mais avez-vous idée du nombre total de navires qui opèrent en Méditerranée centrale ? De leur impressionnante logistique ? De la puissance de leurs sponsors ? Des ramifications internationales et financières de leurs réseaux ? De l’influence de leurs relais politiques et journalistiques ?
Le phénomène des navires-ONG, c’est aussi une narration bien rodée qui sature l’espace médiatique de faits ou de récits, parfois invérifiables et souvent contestables. Ceci afin d’empêcher une analyse objective et dépassionnée du drame humain que constituent les migrations clandestines et le trafic de personnes. Une narration qui martèle sans fin le même mot d’ordre : les migrations de masse sont inéluctables, vouloir les contenir est toujours criminel.
Cependant, face à la poussée migratoire historique dont nous ne vivons que les prémices, une grande partie de l’opinion publique et du personnel politique européens commence à prendre conscience de l’impossibilité pour nos sociétés d’absorber cette marée humaine inépuisable (ceci sera encore plus vrai avec la crise économique qui accompagne le Covid). Un problème balayé d’un revers de main par Carola Rackete : « l’accueil n’a pas de limites. »
Ainsi, rien n’arrête les ONGs, qui imposent des solutions déconnectées du réel et bien souvent aux marges de la légalité. Organisations militantes idéologisées qui passent à l’offensive sur tous les terrains : procès, tribunes médiatiques et campagnes de diffamation contre ceux qui dérangent leur activisme comme l’actuel directeur de l’agence Frontex.
Plongez avec Strategika au cœur des routes migratoires de Méditerranée centrale !