Couple franco-allemand : quand Himmler écrit à de Gaulle – par Nicolas Bonnal

Le couple franco-allemand est brinquebalant mais terriblement totalitaire et belliqueux. Rien ne l’arrêtera dans sa volonté de faire souffrir ses propres populations (les « peuples » ayant disparu) ou de guerroyer pour l’occident, notion nazie utilisée par Rebatet dans ses Décombres.

Voyons alors d’où peut lui venir une telle volonté de nuire et de détruire à ce couple maudit.

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« Si peu de destinée dans le regard » : De Gaulle et la fin des Français – Nicolas Bonnal

Freud qui annonçait même, à cause du développement de la culture, la disparition démographique des races les plus évoluées… Plus personne n’a rien à foutre de rien, à commencer par ce pape et son troupeau de fidèles bidules et tièdes. Les communistes, les socialistes, les nationalistes ? Laisse tomber ! Il ne reste que le fric, mais il permet de se payer de moins en moins de choses. (…) les joyeux débuts du bobo planétaire et jouisseur (…)

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1944 : pourquoi de Gaulle préférait Staline à Roosevelt – Nicolas Bonnal

Dans ses Mémoires de guerre, le Général entrevoit et dénonce la mondialisation américaine, le déclin pathétique de l’Europe, la fin des empires coloniaux, la liquidation du millénaire Etat-nation, liquidation à laquelle nos élites ou supposées telles ont depuis pris une si joyeuse part. C’est d’ailleurs pour cela que le Général de Gaulle ne cesse de vouloir se rapprocher de la Russie, fût-elle dirigée par le Maréchal Staline. Ce dernier apparaît sous sa plume non pas comme le diable de nos historiens de plateau mais plus simplement comme le gentil ogre avec qui il faut apprendre à s’entendre.

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Le petit-fils du général de Gaulle dénonce le rôle funeste de l’Otan au service des Américains

« Chacun reconnaît aujourd’hui la responsabilité des Etats-Unis dans le conflit actuel, le rôle funeste de l’Otan qui s’élargit sans cesse et la politique inconsidérée du gouvernement ukrainien. Ce dernier, fort de belles promesses et nourri d’illusions américaines et européennes, a conduit une politique très condamnable à l’égard des populations russophones du Donbass, multipliant discriminations, spoliations, embargos et bombardements. »

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Éric Branca : « Face à l’unilatéralisme américain, les leçons toujours actuelles de la politique étrangère de De Gaulle »

De Gaulle lui-même faisait une distinction fondamentale entre le peuple américain, qui l’a toujours accueilli avec ferveur et dont 200 000 soldats sont morts pour chasser les Allemands du territoire national, et la politique des États-Unis, invariablement hostile à toute velléité d’indépendance de la part de ses alliés. Et ce, quelle que soit la couleur de l’administration au pouvoir. Le plus stupéfiant, le plus contraire, surtout, à légende dorée de l’Amérique libératrice, c’est la compromission jamais démentie de Roosevelt avec le régime de Vichy et ses hommes, et ce jusqu’en 1944, pour tenter d’empêcher la France de recouvrer l’entièreté de sa souveraineté nationale.

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