Les objectifs de la campagne, baptisée « Opération Surprise », ont été exposés dans un document datant de 2018, rédigé par Prins, qui proclamait la nécessité de « porter le combat contre nos adversaires, qui sont sans scrupules, par tous les moyens nécessaires. » Les comploteurs cherchaient à aboutir à un Brexit le plus « dur » possible, ciblant à la fois ceux qui cherchaient à maintenir l’adhésion du Royaume-Uni à l’UE et les partisans d’un Brexit « doux ». « Nous avons besoin d’un leader qui a le charisme et la capacité de se débarrasser de [Jeremy] Corbyn et de faire face à la menace de [Nigel] Farage. Il n’y a pas d’alternative quand on regarde la question sous cet angle. »
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