Avortement : Soros attaque la Cour Suprême des Etats-Unis

La décision de la cour Suprême des Etats-Unis annulant la sentence Roe vs Wade et redonnant aux Etats fédéraux leur compétence en matière de loi sur l’avortement fait grincer les dents de la bien-pensance. Le 4 juillet, Jour de l’Indépendance des États-Unis, le magnat et philanthrope George Soros a exprimé dans un article de Project Syndicate tout son mépris pour le système démocratique américain et menacé tous les dissidents qui s’opposent aux nouveaux dogmes progressistes.

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Les républicains du Texas veulent un référendum pour faire sécession d’avec les États-Unis en 2023

Plus globalement, cette demande est le signe d’un pays qui traverse une crise majeure (qu’il essaie de compenser en semant le chaos et la division à travers la planète entière). Au sein des Etats-Unis d’Amérique, ils sont des millions à ne plus partager les mêmes valeurs, culturelles, religieuses, sociétales. A ne plus vouloir, comme dans beaucoup de pays occidentaux « vivre ensemble ». Et les politiciens du Parti Républicain commencent eux, à en tirer les conséquences…

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Ursula von der Leyen la dirigeante européenne contrôlée par les Américains

Ursula von der Leyen a été élue de justesse à la tête de la Commission Européenne, elle est diversement appréciée à Bruxelles. Mais elle a le profil idéal pour achever l’actuelle ambition américaine de soumission de l’Union Européenne à la politique américaine. Ursula von der Leyen est allée discuter seule des sanctions contre la Russie avant même la guerre d’Ukraine. Elle a poussé les livraisons d’armes. Aujourd’hui elle se fait l’avocate de l’Ukraine et de la Moldavie pour la candidature à l’UE. On peut supposer que tant qu’ils le pourront, les Américains protègeront Uschie des enquêtes médiatiques trop poussées. 

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Le petit-fils du général de Gaulle dénonce le rôle funeste de l’Otan au service des Américains

« Chacun reconnaît aujourd’hui la responsabilité des Etats-Unis dans le conflit actuel, le rôle funeste de l’Otan qui s’élargit sans cesse et la politique inconsidérée du gouvernement ukrainien. Ce dernier, fort de belles promesses et nourri d’illusions américaines et européennes, a conduit une politique très condamnable à l’égard des populations russophones du Donbass, multipliant discriminations, spoliations, embargos et bombardements. »

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Anatole France et la folie américaine

Les peuples qui n’ont ni commerce ni industrie ne sont pas obligés de faire la guerre; mais un peuple d’affaires est astreint à une politique de conquêtes. Le nombre de nos guerres augmente nécessairement avec notre activité productrice. Dès qu’une de nos industries ne trouve pas à écouler ses produits, il faut qu’une guerre lui ouvre de nouveaux débouchés. C’est ainsi que nous avons eu cette année une guerre de charbon, une guerre de cuivre, une guerre de coton. Dans la Troisième- Zélande nous avons tué les deux tiers des habitants afin d’obliger le reste à nous acheter des parapluies et des bretelles. »

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Zinn et nuisance américaine/ Remarques fatiguées sur l’infatigable puissance maléfique américaine – Nicolas Bonnal

Ce pays qui n’en est pas un (Etats-Unis d’Amérique ?) est une nuisance, il est là pour mettre fin au monde ; des dizaines de grands esprits l’ont dit, y compris américains (de Poe à Miller en passant par London ou Sinclair), chacun à leur manière ; mais c’est Dostoïevski qui remarque que l’Amérique jouit d’un charisme extraordinaire digne d’Oz ; elle emmène le monde à sa suite c’est-à-dire à sa destruction ontologique et spirituelle, comme le charmeur de Hamelin emmène ses rats. Le problème est que l’Amérique restera nocive même si elle prend une branlée en Ukraine après en avoir pris une en Afghanistan et ailleurs : car cette entité n’est pas un empire mais une matrice. Pour l’élite totalitaire américaine comme pour l’élite totalitaire européenne, la guerre est une affaire intérieure, destinée à faire plier la masse.

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Les causes monétaires de la guerre en Ukraine

Ce n’est bien évidemment pas du sort des habitants de l’Ukraine dont les Américains se préoccupent. Ils s’en moquent. Les Américains, comme toujours, ne se soucient que de leurs intérêts. Les Américains en veulent à mort à la Russie, que ce soit celle de Poutine ou celle d’un autre s’il venait à être remplacé, parce que ce pays, depuis une vingtaine d’années, a entrepris de se débarrasser de ses créances d’État en dollars.

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Les dessous de la reddition d’Azovstal et des mercenaires étrangers : probable entente entre la Russie et l’Otan

Les Américains, qui ont toujours plaidé avec l’OTAN pour ne pas participer directement aux hostilités, auraient finalement intérêt à faire rapidement disparaître les preuves de leur implication dans les opérations de première ligne tandis que Moscou aurait tout intérêt à donner une large visibilité à la capture des conseillers militaires étrangers de connivence avec les milices néo-nazies : on ne peut cependant pas exclure un accord entre les deux puissances qui permette aux Occidentaux d’évacuer leurs soldats sans trop de visibilité en échange de quelque concession politique, militaire ou diplomatique.

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Éric Branca : « Face à l’unilatéralisme américain, les leçons toujours actuelles de la politique étrangère de De Gaulle »

De Gaulle lui-même faisait une distinction fondamentale entre le peuple américain, qui l’a toujours accueilli avec ferveur et dont 200 000 soldats sont morts pour chasser les Allemands du territoire national, et la politique des États-Unis, invariablement hostile à toute velléité d’indépendance de la part de ses alliés. Et ce, quelle que soit la couleur de l’administration au pouvoir. Le plus stupéfiant, le plus contraire, surtout, à légende dorée de l’Amérique libératrice, c’est la compromission jamais démentie de Roosevelt avec le régime de Vichy et ses hommes, et ce jusqu’en 1944, pour tenter d’empêcher la France de recouvrer l’entièreté de sa souveraineté nationale.

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L’Italie sera-t-elle le grain de sable dans la machine de « guerre permanente » de l’Otan ?

Alors que le Parlement avait auparavant approuvé la décision de Draghi sur l’envoi d’armes, le groupe de députés s’y opposant, initialement minuscule, est devenu majoritaire en quelques jours. A l’origine, seuls la gauche radicale et de petits groupes au sein du M5S (Mouvement cinq étoiles), de la Lega et du Parti démocrate (PD) lui-même s’opposaient à cette décision. Cependant, depuis les déclarations du pape contre « les aboiements de l’Otan à la porte de la Russie », la situation a radicalement changé. Le M5S, dirigé par l’ancien Premier ministre Giuseppe Conte, et la Lega, dirigée par Matteo Salvini, sont désormais publiquement opposés à de nouvelles livraisons d’armes et favorables à une négociation de paix. L’opposition au sein du PD, dirigée par l’ancien ministre Graziano Delrio, a pris de l’ampleur au point que la direction du PD, pro-Otan, a changé de camp, sans doute dépassés par les événements.

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