Visite à Moscou du ministre hongrois des Affaires étrangères

M. Szijjártó a expliqué que sa visite à Moscou visait tout d’abord à assurer l’approvisionnement énergétique de la Hongrie pour les mois à venir : « Sans les marchés russes, nous ne serions pas en mesure d’acheter 700 millions de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel. Qu’on le veuille ou non, cela ne serait pas possible.

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Les dirigeants français et allemands avertissent leurs populations de « se préparer à une coupure totale du gaz russe » alors que des troubles sociaux se profilent

La population allemande, qui compte quelque 80 millions d’habitants, dépend de la Russie pour plus d’un tiers de son approvisionnement total en gaz, et il n’existe pas d’alternative immédiate. Si Moscou utilise l’entretien « de routine » comme excuse pour maintenir l’approvisionnement, certaines publications allemandes prédisent même des troubles sociaux, la pression étant exercée sur la classe ouvrière en particulier. DW conclut, en parlant d’un effet domino potentiel d’une coupure de l’approvisionnement russe, que « l’économie entière serait affectée ». Prognos a estimé que, si les approvisionnements en gaz russe venaient à manquer, la production économique de l’Allemagne pourrait chuter de 12,7 % d’ici la fin de l’année. »

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L’Occident en plein délire.

Le gouvernement australien ordonne à la masse covidiste et vaccinée de couper son électricité. C’est l’hiver là-bas, et dans trois mois l’automne ici. Économie de guerre et grand reset en mode turbo. On pourra se chauffer en mettant le feu peut-être ? Pas d’engrais et pas de blé non plus : alimentaire, mon cher Watson. C’est ça aussi le peuple nouveau. Et les bourreaux élus et réélus par le peuple nouveau souverain sont à la fois bêtes et méchants : la tempête parfaite. Essence à trois euros le litre en septembre ; fin de l’énergie en Allemagne (Klaus Muller, chef du réseau électrique). Les nonagénaires génocidaires euphoriques.

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Coup de théâtre : l’Allemagne défie l’Union européenne et annonce qu’elle continuera à acheter du gaz russe

Il y a une semaine, Viktor Orban, premier ministre hongrois, avait ouvertement défié l’Union européenne en menaçant de payer son gaz russe en roubles. Une semaine plus tard, c’est au tour d’un géant européen de refuser catégoriquement de tourner le dos à Moscou. Ce géant en question n’est autre que l’Allemagne. Ce pays, première puissance économique de l’Union dont plus de 55% du gaz provient de la Russie, a dit niet à ses partenaires européens qui ont préféré suivre les traces de Biden en sanctionnant sévèrement Vladimir Poutine.

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Zelensky exhorte les pays européens à cesser toute relation commerciale avec la Russie… sans le faire

Volodymyr Zelensky exhorte les peuples européens à refuser toutes les ressources énergétiques de la Russie. Or la réalité ukrainienne est tout autre : On découvre que le gaz continue d’être délivré à travers l’Ukraine. 30 % du gaz consommé en Europe passe par les gazoducs ukrainiens. Et, donc ils (les Russes) payent l’Ukraine de deux manières : en royalties d’une part, et en les laissant prélever une partie du gaz, ce qui permet de chauffer les foyers ukrainiens.

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Ukraine : que reproche-t-on exactement à la Hongrie ?

Alors, la petite Hongrie, qui a connu bien des malheurs ne serait-ce que durant les cent dernières années – deux Guerres mondiales perdues dans lesquelles elle a été embarquée contre son gré, une révolution bolchévique, des occupations allemandes et soviétiques, un dépeçage de son territoire historique par un traité déséquilibré et injuste, des destructions énormes et des déplacements de population, la révolte et la répression de 1956, … – n’a pas de leçon à recevoir lorsqu’elle tente de trouver la voie de sa survie dans la tempête. En particulier de l’Ukraine, État captif, pays jacobin qui n’a cure de sa minorité hongroise autochtone, dont le député Serhiï Melnitchouk menaçait en 2019 la Hongrie d’être envahie en deux heures par l’armée ukrainienne.

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La crise en Ukraine et l’émergence de l’Eurasie

Si les pays membres de l’OTAN et l’UE n’y prennent gare, cette crise en Ukraine pourrait bien être le catalyseur de la démondialisation occidentale et faire basculer le monde définitivement vers l’Eurasie.
Si les Européens de l’Ouest, en particulier la France et l’Allemagne ne cherchent pas à se reconnecter malgré tout avec la Russie, lorsque l’opération russe de neutralisation sera terminée, ils seront les vrais perdant de la nouvelle configuration.

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Média israélien : l’UE demande à Israël d’exporter son gaz vers l’Europe

Considérant qu’Israël dispose d’une importante quantité de gaz naturel et compte tenu de sa capacité à l’approvisionner dans l’immédiat grâce aux activités de certains des réservoirs, le ministère de l’Énergie a récemment entamé l’examen d’une première demande de l’UE à allouer des quotas de gaz au continent

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La contre-mesure diplomatique de Poutine pour contrecarrer l’Occident

Des armes pour vaincre la résistance ukrainienne sur le champ de bataille. Une diplomatie, menée en parallèle et avec audace, pour s’assurer un précieux parapluie contre les sanctions occidentales. La tentative de la Russie semble plutôt évidente : créer un nouvel espace géopolitique au sein duquel opérer économiquement avec des acteurs capables de remplacer, en tout ou en partie, les désormais anciens partenaires européens et américains.

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