Dans ce contexte délétère, il n’est pas surprenant que les élites russes globalistes n’aient pas réussi à faire oublier l’Union soviétique, ayant instauré un libéralisme sauvage, compensé depuis quelques années par une aide sociale d’urgence, qui n’est pas une politique sociale. La nostalgie pour l’URSS, qui ne s’est jamais éteinte dans le cœur de la population russe malgré la propagande antisoviétique grandissante et intrusive, n’est pas surprenante. De manière très stable, environ 67% des Russes regrettent la chute de l’URSS depuis 2005. Si un référendum devait être organisé aujourd’hui quant à la conservation de l’Union soviétique, 73% voterait pour sa préservation. Le libéralisme arrive à son paroxysme avec le Covid et la globalisation forcée qu’il porte, il s’y suicide, faute d’avoir une autre idéologie l’obligeant à ne pas tomber dans les excès, que l’on observe aujourd’hui. Il est temps d’en tirer les conclusions et de reprendre le cours national, qui est la seule voie permettant le développement des hommes et des sociétés. Il faut renationaliser les élites …
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