Le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[4]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu.
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