Ces « théories du complot » qui sont souvent avérées
Par Philip GIRALDI Philip Giraldi (né en 1946) est un ancien spécialiste de la lutte contre le terrorisme et officier de
Lire la suitePar Philip GIRALDI Philip Giraldi (né en 1946) est un ancien spécialiste de la lutte contre le terrorisme et officier de
Lire la suiteCela fait plusieurs mois que Klein, 41 ans, conseille Netanyahu mais, ces dernières semaines, le journaliste a démissionné de son poste de correspondant en Israël pour le site d’extrême-droite Breitbart et il a rejoint le Likud pour lequel il travaillera à plein-temps.
Lire la suiteUn changement significatif dans l’équilibre mondial des pouvoirs est peut-être en vue si l’on en croit les déclarations faites par le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, lors de son discours devant un groupe d’ambassadeurs allemands lundi à Bruxelles. M. Borrell aurait « créé un casse-tête diplomatique » lorsqu’il a appelé à la fin du « système dirigé par les Américains » et a plaidé pour l’avènement d’un « siècle asiatique » centré sur la stabilisation des relations entre l’Europe et la Russie.
Lire la suiteMai 68 : une révolution de la société ouverte contre la France gaullienne
Alors que les États-Unis sont en train de connaitre une déstabilisation politique qui prend toutes les formes d’une révolution de couleur sur le sol américain, il est opportun de revenir sur les évènements et les forces qui déstabilisèrent la France en mai 1968. Une séquence historique qui s’apparente à bien des égards à une pré-révolution colorée tant dans sa méthodologie que par ses conséquences politiques. Une période marquée par le soulèvement d’une partie de la société civile (surtout la jeunesse) instrumentée par des intérêts étrangers à la France. Intérêts qui percevaient le redressement politique effectué par le général de Gaulle comme une menace pour l’ordre international qui se mettait alors en place.
Par Alexandre Keller / source : fr.sputniknews.com
Sur fond d’affrontement entre Bruxelles et la Cour constitutionnelle allemande, George Soros est descendu dans l’arène pour alerter l’UE sur les périls qui la menaceraient et pour montrer la voie. Mais avec quelle légitimité? Pierre-Antoine Plaquevent pointe la nature antidémocratique de la «gouvernance» promue par le milliardaire hongrois.
Contacté par Sputnik, Pierre-Antoine Plaquevent, auteur de l’essai Soros et la société ouverte, métapolitique du globalisme (Éd. Culture & Racines), évoque une nouvelle étape dans la stratégie de ce qu’il qualifie de «gouvernance globale». «George Soros, c’est l’émergence d’un acteur politique qui se juge lui-même chargé d’une mission, même s’il n’est pas élu et si les gens se demandent d’où il sort»
Source : medianarodowe.com La révolution du personnel au sein du réseau social très populaire est achevée. Facebook aura désormais un
Lire la suitePar Francesca Totolo Source : ilprimatonazionale.it / Traduction P-A Plaquevent Alors que l’application Immuni est toujours en discussion en Italie,
Lire la suiteDans une tribune intitulé « L’Europe doit se tenir aux côtés de la Turquie au sujet des crimes de guerre de Poutine en Syrie », George Soros expose les raisons pour lesquelles, selon lui, l’Union européenne devrait soutenir les
Lire la suiteUn rapport réalisé par l’European Centre for Law and Justice (ECLJ) met en lumière les relations existant entre plusieurs juges de la Cour européenne des droits de l’homme et des ONG actives devant cette Cour. Douze juges sont liés au réseau de l’Open Society Foundation (OSF) (…)
Lire la suiteSamedi 29 février, à Chisinau, aura lieu le lancement de l’édition roumaine du livre de l’auteur français Pierre-Antoine Plaquevent : Soros et la société ouverte, métapolitique du globalisme. Une présentation qui sera aussi l’occasion de dessiner les contours d’un front populaire international anti-Soros.
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