Sur la folie des femmes actuelles – américaines en particulier – Nicolas Bonnal
Par Nicolas Bonnal Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualité Pour nous soutenir commandez le livre : “Globalisme
Lire la suitePar Nicolas Bonnal Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualité Pour nous soutenir commandez le livre : “Globalisme
Lire la suitele coup de génie de Jack London. Il comprend que nos élites sont dangereuses car gentilles et humanitaires, missionnées et messianiques. Elles sont dans le même état moral que le Führer qui voulait interdire le tabac aux femmes, limiter les vitesses de voiture, libérer les Sudètes ou créer l’homme nouveau. Dans son Ozymandia, le libertarien Shaffer Butler indique que ses étudiants sont des gentils nazis sans le savoir (végétariens, écolos, zoophiles, anti-tabac, contrôleurs de tout, etc.) … Ils se jugent irremplaçables. D’autre part, la grande masse désespérée du peuple de l’Abîme s’enfonçait dans un abrutissement apathique et satisfait de sa misère.
Lire la suiteLa vérité est, vérité déplorable, que le goût des fonctions publiques et le désir de vivre de l’impôt ne sont point chez nous une maladie particulière à un parti, c’est la grande et permanente infirmité de la nation elle-même ; c’est le produit combiné de la constitution démocratique de notre société civile et de la centralisation excessive de notre gouvernement ; c’est ce mal secret, qui a rongé tous les anciens pouvoirs et qui rongera de même tous les nouveaux.
Lire la suiteFreud qui annonçait même, à cause du développement de la culture, la disparition démographique des races les plus évoluées… Plus personne n’a rien à foutre de rien, à commencer par ce pape et son troupeau de fidèles bidules et tièdes. Les communistes, les socialistes, les nationalistes ? Laisse tomber ! Il ne reste que le fric, mais il permet de se payer de moins en moins de choses. (…) les joyeux débuts du bobo planétaire et jouisseur (…)
Lire la suite« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. »
Lire la suite