De Pétain à Macron : Bernanos contre leur France robotisée – Nicolas Bonnal

« Des millions et des millions d’hommes ne croyaient plus à la liberté, c’est-à-dire qu’ils ne l’aimaient
plus, ils ne la sentaient plus nécessaire, ils y avaient seulement leurs habitudes, et il leur suffisait d’en
parler le langage. Depuis longtemps, l’État se fortifiait de tout ce qu’ils abandonnaient de plein gré.
Ils n’avaient que le mot de révolution à la bouche, mais ce mot de révolution, par une comique
chinoiserie du vocabulaire, signifiait la Révolution Socialiste, c’est-à-dire le triomphal et définitif
avènement de l’État, la Raison d’État couronnant aussi l’édifice économique… »

Lire la suite

Nous, non-vaccinés, ce groupe témoin que Big Pharma doit éliminer coûte-que-coûte

Mais la grande peur des gouvernements tient évidemment à la réaction des vaccinés s’ils découvraient que la confiance qu’ils ont portée dans leurs chers dirigeants avait été trompée.  Mais c’est un pari dont ils n’ont pas conscience. Aveuglés par leur conformisme, ils n’imaginent pas un seul temps que l’Etat, le cher papa-Etat, la chère maman Sécurité Sociale, puissent leur avoir menti. Et ils tomberaient de leur chaise s’ils découvraient un jour que la décision de vacciner en masse n’a pas été prise par des âmes candides soucieuses de les protéger, mais par des incompétents, des marionnettes cyniques, qui signent des décrets rédigés par un gouvernement profond dont les rouages sont habilement cachés. 

Lire la suite

Contre la société de surveillance : la conception européenne de la liberté – Guillaume Travers

L’introduction du « pass sanitaire » suscite chez beaucoup le sentiment d’une profonde rupture en matière de libertés publiques. Celle-ci a deux aspects. Tout d’abord, une fermeture de l’espace public, donc certains seront exclus en raison d’un critère médical. Ensuite, une privatisation du contrôle, puisque tout le monde contrôlera tout le monde : un employeur, ses salariés ; un restaurateur, ses clients ; un couple de mariés, ses convives.

Lire la suite

Psychopathologie du totalitarisme

Le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[4]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu.

Lire la suite

Gougenot et l’avènement apocalyptique du mondialisme totalitaire (1865)

Le socialisme, aboutissant au communisme, est la doctrine antisociale qui tend et aboutit à faire de l’État le maître absolu de toutes choses, c’est-à-dire des personnes et des biens, des corps et des âmes. Or, l’Antéchrist se présentant comme l’apôtre et le chef de cette œuvre de fausse et détestable charité, comme le propagateur et le soutien de ce plan de fraternité cosmopolite et démoniaque, il deviendra la personnification parfaite de ce régime, dont la réalisation se complétera sous son sceptre.

Lire la suite

Pfizer, un historique judiciaire qui mérite d’être mieux connu.

Les négociations avec les laboratoires ne sont pas rendues publiques. Impossible de connaître les détails des accords conclus. En résumé, une opération de santé publique est sous-tendue par des contrats secrets signés entre les représentants publics et des industriels de Planète finance. Voilà de quoi donner du crédit aux pires supputations complotistes n’est-ce pas?

Lire la suite

Bientôt le « portefeuille d’identité numérique », un cauchemar totalitaire

L’important est que nous soyons en train d’oublier ce que signifie la liberté. Une armée d’analystes et de communicants au service des grandes entreprises et des administrations s’y emploie chaque jour, en nous persuadant que la liberté est un sujet très technique qui concerne les modalités de stockage de nos données personnelles, et que dans ce domaine, Thalès est plus sûr que Facebook. Comment lutter contre ce verrouillage de nos vies ? D’abord, combattre autant que possible l’informatisation des activités humaines, qui débouche nécessairement sur l’identification électronique. Créer des espaces alternatifs qui s’y soustraient (pour s’entraîner à la liberté). Quant à moi, le passe sanitaire m’a convaincue de ne plus avoir de smartphone.

Lire la suite

Australie prison modèle et cinglée (suivi de: Sigmund Freud politiquement incorrect)

Il y a les fous (sélectionnés par le pouvoir mondialiste depuis trois générations) et les dressés. Les Anglo-saxons ont toujours été des dressés. Le politiquement correct a fait le reste – et le LGBTQ, la désexualisation engendrant un instinct de mort

Lire la suite

Viol des esprits et psychose de masse

Jamais des moyens (@, smartphones, TV, …) aussi efficaces n’avaient existé pour mener les gens dans la psychose du totalitarisme : ils sont associés à des algorithmes qui censurent rapidement le flux des informations indésirables qui permettent aux détenteurs du pouvoir d’attaque l’esprit des masses. Les personnes prennent pour acquis le monde qu’elles regardent. L’aspiration à un monde plus ordonné est alors mûre. Les dirigeants peuvent ainsi offrir un retour à l’ordre plus rapidement dans le sens opposé. Cela a un prix : les masses doivent renoncer à leur liberté et céder le contrôle de leur vie à l’élite dirigeante ; elles doivent renoncer et à leur capacité à être des individus autonomes et responsables de leur vie et devenir des sujets soumis et obéissants. Elles doivent sombrer dans la psychose totalitaire.

Lire la suite

A la lumière du Covid : Stephan Zweig et la progression de la tyrannie nazie

ils utilisaient leurs méthodes avec prudence ; à chaque fois la même chose : une dose, puis une courte pause. Une pilule puis un moment d’attente pour voir si elle n’avait pas été trop forte ou si la conscience du monde en supportait la dose. Et puisque la conscience européenne – honte à son ignominie – a insisté avec ferveur sur son désintérêt, car ces actes de la violence se sont produits « de l’autre côté des frontières », et les doses ont été de plus en plus fortes, à tel point que finalement toute l’Europe a été victime de tels actes.

Lire la suite