Deux généraux italiens récusent le bellicisme: « Ce n’est pas notre guerre, arrêtons de suivre les États-Unis ! »

« La guerre a commencé avec l’intervention de la Russie, qui ne fait pas partie de l’OTAN, en Ukraine, qui ne fait pas davantage partie de l’OTAN : c’est un affrontement entre deux pays européens qui n’ont rien à voir avec l’OTAN et rien à voir avec l’Italie. Je ne pense pas que nous puissions discuter de neutralité ou d’autre chose ».

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Le but réel des globalistes : guerre hybride mondiale et prise de pouvoir en Russie – Sergey Glazyev

L’extermination de la population masculine et l’asservissement effectif des femmes et des enfants d’Ukraine pour le développement ultérieur de ce territoire dans l’intérêt de l’élite du pouvoir et de la finance des États-Unis, de la Grande-Bretagne et d’Israël.
La mise en œuvre de ce plan, en fait, vise à détruire le monde russe, suivi par les plans de l' »État profond » américain pour détruire l’Iran et bloquer la Chine.

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Guerre régionale ou guerre générale ?

« Si l’un des deux belligérants est décidé à s’engager sur la voie des grandes décisions par les armes, ses chances de succès sont considérables, pour peu qu’il soit certain que l’autre ne désire pas s’y engager » (C.Clausewitz). Cette proposition s’applique parfaitement à la Russie et à l’Ukraine. Les deux belligérants y étaient engagés depuis longtemps et leur dialogue, diplomatique et militaire, était soutenu, en sous mains, par des co-belligérants occultes, américains, britanniques, allemands, français, polonais, baltes et autres, qui armaient et entrainaient les ukrainiens de Zelenski.

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D’où viennent certains des millions de Zelensky et de Biden ?

Le républicain de l’Iowa, Grassley, a déclaré à DailyMail.com : ‘Les preuves des relations financières et commerciales du président avec Hunter continuent de croître. Il est impératif que la première famille montre au peuple américain la transparence qu’il mérite.’ » Questions que les Européens seraient en droit de poser à Ursula von der Leyen et les technocrates bruxellois, à la solde des Etats-Unis, et qui veulent entrainer les nations européennes dans une guerre militaire, énergétiques et économique, avec la Russie pour défendre soi-disant l’Ukraine : « Pourquoi devrions-nous faire confiance aux présidents Zelensky et Biden sur lesquels pèsent de tels soupçons de corruption et de financement occulte ? Y aurait-il un pacte de corruption qui lie Bruxelles et aux deux compères ? »

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En Allemagne et en Autriche, les personnalités politiques opposées à la guerre donnent de la voix

Comment est-ce possible qu’un membre du Parti Vert, sans signe distinctif particulier — si ce n’est l’ambition et la vanité, puisse en un battement de cils devenir un faucon pro-OTAN ? Un jour, j’aimerais bien savoir qui exactement l’a préparée pour ce rôle, et qui l’a guidée. On en apprend davantage ici : Annalena Baerbock a été formée comme Young Global Leader par le FEM en 2020… tout comme Angela Merkel [l’ex-chancelier, ndlr] en 1992, J-M. Aznar, José Barroso, Tony Blair ou Nicolas Sarkozy. Angela Merkel était à l’époque un tout nouveau ministre de la condition féminine… Donc, soit le FEM avait un 6ème sens quant à sa volonté de fer politique, ou bien les étages de direction en politique ne sont essentiellement ouverts qu’à ceux bénéficiant de certains grands groupes capitalistiques.

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De quoi Macron a-t-il peur lorsqu’il dit « il pourrait y avoir des mesures d’urgence qu’il faudra prendre dans les prochains jours » ?

« Il est important que dans ce contexte de guerre et de tension très forte sur le pouvoir d’achat, il puisse y avoir une gestion des affaires courantes très réactive, car il pourrait y avoir des mesures d’urgence qu’il faudra prendre dans les prochains jours », avait assuré le président-candidat, prônant ainsi « la continuité ».

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Les Etats-Unis assument de faire la guerre à la Russie et de le faire jusqu’au bout de leur pouvoir

Le ton des Etats-Unis face à la Russie a changé, c’est en tout cas ce qui est affirmé aujourd’hui dans le New York Times : mener ce combat en Ukraine pour faire tomber la Russie, pour qu’enfin le monopole de la gouvernance atlantiste ne soit plus jamais remis en cause. Le fond reste le même, puisque c’est bien le même combat qui est mené depuis que la Russie a relevé la tête, mais désormais les choses sont dites. 

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Les conséquences méta-économiques des sanctions antirusses

Le continent européen lui-même va donc entre dans sa propre dimension temporelle, marquée par la désintégration de l’économie et de la population. Leurs « élites » resteront avec une laisse au cou, s’interdisant de contester toute idéologie d’outre-atlantique même lorsque celle-ci contredit ouvertement les fondements de la biologie reproductrice tels que les gamins des fermes du Tiers-Monde les constatent évidemment. Nous en sommes là.

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