Maladie, guerre et famine : le troisième cavalier du mondialisme approche au galop

Dans ce monde post-démocratique, celui de la gouvernance et du néo-despotisme éclairé, une population affaiblie, appauvrie, en demande de sécurité sanitaire et alimentaire, et convaincue de la réalité du réchauffement climatique d’origine anthropique, serait prête à accepter sans discuter les solutions malthusiennes et transhumanistes du Forum de Davos.

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Différence de leadership des armées de Russie et de l’OTAN sur le front ukrainien

Cette opération était spéciale parce que l’essentiel des opérations au sol allaient se dérouler dans un pays frère et dans des zones dans lesquelles une partie importante de la population n’était pas hostile à la Russie (le Donbass). Il ne s’agissait donc pas d’une opération classique de haute intensité face à un ennemi irréductible, il s’agissait d’une opération dans laquelle la technique du rouleau compresseur russe, écrasant les forces, les infrastructures et les populations adverses par l’artillerie (comme en Allemagne lors de la 2ème guerre mondiale) était impossible à envisager. Cette opération était spéciale parce qu’il s’agissait davantage, dans le Donbass, d’une opération de libération d’une population amie, otage des bataillons de représailles ukro-nazis, et martyrisée depuis 8 ans, opération dans laquelle les populations et l’infrastructure civiles devaient être épargnées autant qu’il était possible.

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Les Etats-Unis assument de faire la guerre à la Russie et de le faire jusqu’au bout de leur pouvoir

Le ton des Etats-Unis face à la Russie a changé, c’est en tout cas ce qui est affirmé aujourd’hui dans le New York Times : mener ce combat en Ukraine pour faire tomber la Russie, pour qu’enfin le monopole de la gouvernance atlantiste ne soit plus jamais remis en cause. Le fond reste le même, puisque c’est bien le même combat qui est mené depuis que la Russie a relevé la tête, mais désormais les choses sont dites. 

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Guerre d’information ou guerre cognitive ?

La capacité américaine de guerre de l’information est sans comparatif : quand on en vient à parler de manipuler les perceptions, à produire une réalité alternative et à utiliser l’esprit comme une arme, les États-Unis n’ont pas de rivaux. Le déploiement coercitif d’instruments de pouvoir non militaires pour renforcer son hégémonie et attaquer n’importe quel État qui rivalise avec eux est également indéniable. Et c’est précisément pourquoi la Russie n’a pas eu d’autres choix que l’option militaire pour défendre ses intérêts et sa sécurité nationale. Et quand votre existence en tant que nation est en danger, gagner ou perdre la guerre de l’information dans le metaverse occidental devient relativement hors de propos. Gagner chez soi et s’assurer que vos partenaires et alliés comprennent votre position et la rationalité derrière vos actions ont inévitablement la priorité.

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Attaques chimiques sous faux drapeau : à quoi joue l’OTAN ?

Face au rouleau compresseur des médias militarisés, il peut être intéressant de renverser les inversions accusatoires occidentales. Et de poser l’hypothèse : et si la coalition occidentale préparait, elle, la possibilité d’attaques chimiques en Ukraine ?

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Pour sauver le pétrodollar, les États-Unis risquent la guerre avec la Chine et l’embrasement global

L’aggravation du conflit en Ukraine précipite le grand renversement du monde. L’Occident sous leadership américain ne parvient plus à contenir les puissances émergentes.

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« L’Ukraine est le laboratoire du mondialisme » : Entretien avec Lucien Cerise

L’intervention militaire russe de 2022 a donc pour finalité, non pas de lancer une guerre, mais de mettre fin avec huit ans de retard à la guerre lancée par le régime de Kiev contre le Donbass en 2014. Le retour à la paix et à la vie normale en Ukraine sont cependant inacceptables pour Kiev et ses soutiens internationaux, car cela signifierait revenir à des relations pacifiques avec la Russie. Pour ma part, je savais dès 2014 que cette région du monde allait devenir l’épicentre d’une possible troisième guerre mondiale. Le complexe militaro-industriel anglo-américain a absolument besoin d’entretenir un ennemi pour justifier son existence.

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